Yennayer est le premier jour de l’année amazighe correspondant au premier jour du calendrier agraire durant lequel femmes et hommes affichent fièrement leurs habits traditionnels berbères et présentent leurs vœux en musique, dont l’Ahwach et l’ahidouss, un art transmis et préservé de génération en génération.
Toutefois ce qui caractérise l’année amazighe, ce sont ces coutumes et traditions qui diffèrent d’une région à une autre, chose qui lui confère des dimensions symboliques que les habitants de l’Atlas expriment à travers des rituels de célébration qui puisent leurs racines dans la culture amazighe, qui constitue indéniablement une richesse nationale immatérielle. Ce nouvel an amazigh qui coïncide avec la nuit du mois de 13 janvier de l’année grégorienne est célébré dans tous les pays du Maghreb. Connu sous le nom de « Yennayer », il est également appelé “Asseguass” qui signifie le jour qui sépare deux périodes.
Cet événement qui était célébré collectivement sous la supervision du chef de la tribu et de ses collaborateurs, consiste en la préparation de repas traditionnels dont le couscous berbère aux sept légumes décoré de différentes douceurs et d’un mélange de fruits secs et de noix et l’accomplissement de rituels festifs selon des coutumes et des traditions héritées des prédécesseurs et qui varient selon les régions.
D’autres plats festifs sont préparés à cette occasion tels le Berkoukes, le Tagoulla ou assidah dressés avec de l’Amlou, huile d’argan et du miel. Cette célébration se faisant au sein de la tribu, elle constitue une occasion de rencontres et de retrouvailles entre familles et c’est le chef de la tribu qui désigne la famille qui va accueillir le dîner de la célébration constitué généralement de plats traditionnels locaux.
La soirée de la célébration du nouvel an amazigh est agrémentée de rituels porteurs de significations qui renvoient à l’optimisme et à la bonté et au lever du soleil, les grains de couscous sont parsemés dans les champs, les pâturages, les étables et les silos dans l’espoir que la nouvelle année sera porteuse de bonheur, de richesses et d’abondance.
Toutefois ce qui caractérise l’année amazighe, ce sont ces coutumes et traditions qui diffèrent d’une région à une autre, chose qui lui confère des dimensions symboliques que les habitants de l’Atlas expriment à travers des rituels de célébration qui puisent leurs racines dans la culture amazighe, qui constitue indéniablement une richesse nationale immatérielle. Ce nouvel an amazigh qui coïncide avec la nuit du mois de 13 janvier de l’année grégorienne est célébré dans tous les pays du Maghreb. Connu sous le nom de « Yennayer », il est également appelé “Asseguass” qui signifie le jour qui sépare deux périodes.
Cet événement qui était célébré collectivement sous la supervision du chef de la tribu et de ses collaborateurs, consiste en la préparation de repas traditionnels dont le couscous berbère aux sept légumes décoré de différentes douceurs et d’un mélange de fruits secs et de noix et l’accomplissement de rituels festifs selon des coutumes et des traditions héritées des prédécesseurs et qui varient selon les régions.
D’autres plats festifs sont préparés à cette occasion tels le Berkoukes, le Tagoulla ou assidah dressés avec de l’Amlou, huile d’argan et du miel. Cette célébration se faisant au sein de la tribu, elle constitue une occasion de rencontres et de retrouvailles entre familles et c’est le chef de la tribu qui désigne la famille qui va accueillir le dîner de la célébration constitué généralement de plats traditionnels locaux.
La soirée de la célébration du nouvel an amazigh est agrémentée de rituels porteurs de significations qui renvoient à l’optimisme et à la bonté et au lever du soleil, les grains de couscous sont parsemés dans les champs, les pâturages, les étables et les silos dans l’espoir que la nouvelle année sera porteuse de bonheur, de richesses et d’abondance.