L’article en question, paru le 17 août 2020, page 10, rapportait les faits d’un sitin observé devant le péage de la ville de Khouribga par le personnel de l’entretien et du nettoyage des autoroutes qui travaille avec l’entreprise J2WACH-GOLDWACH.
La mise au point reçue de la part de ladite entreprise, rejette en bloc les revendications des grévistes qu’elle qualifie d’infondées et de fallacieuses. Ainsi, la mise au point précise que « la prétention de non-respect par le Groupe du cahier des charges le liant à la Société nationale des autoroutes du Maroc n’est pas prouvée (…), et qu’il n’a reçu aucune réclamation ».
Elle soutient que l’accusation de privation de certains employés de leurs acquis n’a pas de fondement légal et que les « salariés » en question n’ont pas travaillé auparavant dans la société et n’ont avec elle aucun lien contractuel.
Enfin, la mise au point assure que la société n’a jamais licencié aucun de ses salariés dans le cadre du contrat 28/20/S conclu entre J2WACH-GOLDWACH et la Société nationale des autoroutes du Maroc.
Pour notre part, nous nous limitons à rapporter avec objectivité et impartialité que le personnel de l’entretien et du nettoyage des autoroutes (ADM) qui travaille avec la société J2 WASH Gold Wash Service, organisait un sitin ouvert devant le péage de l’entrée de la ville de Khouribga après avoir observé, depuis le 6 août 2020, une grève ouverte jusqu’à, selon leur comité syndical, l’ouverture d’un réel dialogue avec l’employeur et surtout et toujours selon les slogans qu’ils répétaient, jusqu’au retour à leurs postes de travailleurs victimes de licenciements qu’ils qualifient d’abusifs dans les centres d’exploitation de Khouribga, Bouskoura, Agadir et Marrakech.
Ainsi, sollicités par ces travailleurs en grève, le bureau provincial de l’UGTM, la section locale du Parti de l’Istiqlal et les correspondants des quotidiens L’Opinion et Al Alam ont rallié ces grévistes, les premiers pour leur exprimer leur soutien, les seconds pour rapporter les faits déroulés sur les lieux même du sit-in (Nous avons des vidéos des slogans et revendications).
Sitôt arrivés, le comité d’organisation du sit-in nous lut et distribua les deux communiqués adressés à l’administration de l’employeur et aux autorités locales, communiqués dont nous avons reproduit fidèlement et objectivement l’essentiel des revendications dans notre quotidien L’Opinion.
La mise au point reçue de la part de ladite entreprise, rejette en bloc les revendications des grévistes qu’elle qualifie d’infondées et de fallacieuses. Ainsi, la mise au point précise que « la prétention de non-respect par le Groupe du cahier des charges le liant à la Société nationale des autoroutes du Maroc n’est pas prouvée (…), et qu’il n’a reçu aucune réclamation ».
Elle soutient que l’accusation de privation de certains employés de leurs acquis n’a pas de fondement légal et que les « salariés » en question n’ont pas travaillé auparavant dans la société et n’ont avec elle aucun lien contractuel.
Enfin, la mise au point assure que la société n’a jamais licencié aucun de ses salariés dans le cadre du contrat 28/20/S conclu entre J2WACH-GOLDWACH et la Société nationale des autoroutes du Maroc.
Pour notre part, nous nous limitons à rapporter avec objectivité et impartialité que le personnel de l’entretien et du nettoyage des autoroutes (ADM) qui travaille avec la société J2 WASH Gold Wash Service, organisait un sitin ouvert devant le péage de l’entrée de la ville de Khouribga après avoir observé, depuis le 6 août 2020, une grève ouverte jusqu’à, selon leur comité syndical, l’ouverture d’un réel dialogue avec l’employeur et surtout et toujours selon les slogans qu’ils répétaient, jusqu’au retour à leurs postes de travailleurs victimes de licenciements qu’ils qualifient d’abusifs dans les centres d’exploitation de Khouribga, Bouskoura, Agadir et Marrakech.
Ainsi, sollicités par ces travailleurs en grève, le bureau provincial de l’UGTM, la section locale du Parti de l’Istiqlal et les correspondants des quotidiens L’Opinion et Al Alam ont rallié ces grévistes, les premiers pour leur exprimer leur soutien, les seconds pour rapporter les faits déroulés sur les lieux même du sit-in (Nous avons des vidéos des slogans et revendications).
Sitôt arrivés, le comité d’organisation du sit-in nous lut et distribua les deux communiqués adressés à l’administration de l’employeur et aux autorités locales, communiqués dont nous avons reproduit fidèlement et objectivement l’essentiel des revendications dans notre quotidien L’Opinion.
El Azhar