Pour rappel, l'Algérie avait mis fin aux fonctions d'Abdelhamid Abdaoui en tant qu'ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire d'Algérie auprès du Royaume du Maroc, après la décision du gouvernement algérien de rompre les relations diplomatiques avec le Maroc.
Après son rappel à Alger, l'ambassadeur algérien n'exercera plus aucune activité au Maroc. Selon un décret présidentiel datant du 26 septembre et publié au Journal officiel de l'Algérie, le 6 octobre, “il est mis fin, à compter du 25 août 2021, aux fonctions d’ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire de la République algérienne démocratique et populaire, à Rabat (Royaume du Maroc), exercées par M. Abdelhamid Abdaoui”, peut-on lire dans le bulletin publié sur le site du secrétariat général du gouvernement algérien.
Cette décision est le corollaire de la rupture des relations, annoncée, le 24 septembre, par le ministre algérien des Affaires étrangères, Ramtane Lamamra. La diplomatie du voisin de l'est a allégué des "actions hostiles" du Royaume pour justifier le choix de son pays. Cette décision a été jugée injustifiée par le Maroc, qui s'attendait à une démarche pareille, compte tenu de la montée de l'animosité du voisin de l'est vis à vis du Royaume.
Après son rappel à Alger, l'ambassadeur algérien n'exercera plus aucune activité au Maroc. Selon un décret présidentiel datant du 26 septembre et publié au Journal officiel de l'Algérie, le 6 octobre, “il est mis fin, à compter du 25 août 2021, aux fonctions d’ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire de la République algérienne démocratique et populaire, à Rabat (Royaume du Maroc), exercées par M. Abdelhamid Abdaoui”, peut-on lire dans le bulletin publié sur le site du secrétariat général du gouvernement algérien.
Cette décision est le corollaire de la rupture des relations, annoncée, le 24 septembre, par le ministre algérien des Affaires étrangères, Ramtane Lamamra. La diplomatie du voisin de l'est a allégué des "actions hostiles" du Royaume pour justifier le choix de son pays. Cette décision a été jugée injustifiée par le Maroc, qui s'attendait à une démarche pareille, compte tenu de la montée de l'animosité du voisin de l'est vis à vis du Royaume.