Et puis voilà. Nous sommes enfin informés sur le parcours de Samira Sitaïl, récemment nommée ambassadrice du Maroc en France. Et c’est un « expert » qui en rend compte sur les colonnes d’un site électronique réputé pourtant sérieux. Sous l’intitulé « Maroc-France, pourquoi Samira Sitaïl », le sieur, présenté comme « analyste en économie et géopolitique », nous apprend que la concernée rentre au Maroc en 1990 pour rejoindre l’équipe de 2M. Faux ! La jeune franco-marocaine est arrivée à Rabat en 1986 flirtant avec la RTM pendant l’effondrement de l’opération « Ca bouge à la télé » orchestrée par l’entrepreneur français André Paccard (1929-1995) et voulue par Hassan II.
Son intégration à 2M se fait bien plus tard par l’éphémère directeur général de l’époque, Mohamed El Baz. Le même sieur nous apprend que Samira a démissionné. Faux ! Elle a bénéficié d’un départ volontaire. L’«analyste» nous dit aussi qu’au sein de 2M, Samira Sitaïl était amplement évoquée comme « SS ». Faux ! Malgré sa bienvenue poigne, jamais personne au sein de la chaîne ne lui a attribué ce surnom/initiales puant le nazisme. Le sieur en question ne s’arrête pas à cette masse de désinformations. Il poursuit sa grosse mésaventure en racontant que Samira est passée de présentatrice de journaux télévisés à l’émission « L’Homme en question » et rapidement directrice de l’Information. Faux ! Samira a eu des rapports tendus avec son DG Nour-Eddine Saïl et a dû attendre une nomination tombée de haut pour qu’elle jouisse de ce poste.
Après quoi, elle a eu affaire à un autre patron, Mustapha Benali, qui quitte le navire en « cédant » sa place à un jeune (Salim Cheikh) installé par son ami Faiçal Laâraïchi, patron du pôle audiovisuel jusqu’à épuisement. Nous voilà donc dans la pure désinformation appuyée par un support en suposée déliquescence. Trouble approche d’une plateforme qui se déploie dans le métier en revendiquant une présence Média, 24 heures par jour.
Son intégration à 2M se fait bien plus tard par l’éphémère directeur général de l’époque, Mohamed El Baz. Le même sieur nous apprend que Samira a démissionné. Faux ! Elle a bénéficié d’un départ volontaire. L’«analyste» nous dit aussi qu’au sein de 2M, Samira Sitaïl était amplement évoquée comme « SS ». Faux ! Malgré sa bienvenue poigne, jamais personne au sein de la chaîne ne lui a attribué ce surnom/initiales puant le nazisme. Le sieur en question ne s’arrête pas à cette masse de désinformations. Il poursuit sa grosse mésaventure en racontant que Samira est passée de présentatrice de journaux télévisés à l’émission « L’Homme en question » et rapidement directrice de l’Information. Faux ! Samira a eu des rapports tendus avec son DG Nour-Eddine Saïl et a dû attendre une nomination tombée de haut pour qu’elle jouisse de ce poste.
Après quoi, elle a eu affaire à un autre patron, Mustapha Benali, qui quitte le navire en « cédant » sa place à un jeune (Salim Cheikh) installé par son ami Faiçal Laâraïchi, patron du pôle audiovisuel jusqu’à épuisement. Nous voilà donc dans la pure désinformation appuyée par un support en suposée déliquescence. Trouble approche d’une plateforme qui se déploie dans le métier en revendiquant une présence Média, 24 heures par jour.