Nous avons regardé mardi 12 décembre avec ferme volonté le paragraphe « Duos » du crochet « Srarlight » que produit la chaîne de télévision marocaine 2M, un média anciennement maître des ondes du pays. Après les habituels salamalecs, nous voilà confrontés à des « face à-face » grossièrement bien réfléchis.
Nous ne contemplons que de belles approches et de sympathiques associations. Le chant est là, entre filles et entre garçons à quelques mélanges près. Les choix des membres du jury composé de quatre chanteurs-compositeurs et d’un donneur de voix non-autopsié, suscitent le respect. Sauf lorsque l’unanimité se déclare à l’endroit d’un chanteur charismatique au détriment d’un autre aux capacités intrigantes et plus amples à évoluer. Un duel rbati sur un classique américain, « Stand by Me ». Peine perdue.
Finalement, tout est décidé. Car, tout ce que le maigre volume du spectateur de l’émission attend est broyé par une production un brin juvénile, largement empotée. Nous sommes en mesure de dévoiler le trio parti en finale. Trois garçons ! Pas de noms à dévoiler, puisque le public est invité à se prononcer, surfant sur l’apport de fidèles sponsors. Les filles sont donc invitées à ravaler leurs cordes vocales. Ce qui ne nous pousse pas à crier à la discrimination, mais tout de même… Que fait ce jury à la femme unique et au statut troublé ? Des jurés légitimes certes, mais à la dimension pas forcément portant les mêmes codes d’appréciation. Souhaitons à ces jeunes malmenés un avenir plus fin que leurs rugueuses aspirations. Jamais telle expérience ne fait sortir indemne un gagnant ou un perdant. Tout fluctue. Seule la mort est uniforme.
Nous ne contemplons que de belles approches et de sympathiques associations. Le chant est là, entre filles et entre garçons à quelques mélanges près. Les choix des membres du jury composé de quatre chanteurs-compositeurs et d’un donneur de voix non-autopsié, suscitent le respect. Sauf lorsque l’unanimité se déclare à l’endroit d’un chanteur charismatique au détriment d’un autre aux capacités intrigantes et plus amples à évoluer. Un duel rbati sur un classique américain, « Stand by Me ». Peine perdue.
Finalement, tout est décidé. Car, tout ce que le maigre volume du spectateur de l’émission attend est broyé par une production un brin juvénile, largement empotée. Nous sommes en mesure de dévoiler le trio parti en finale. Trois garçons ! Pas de noms à dévoiler, puisque le public est invité à se prononcer, surfant sur l’apport de fidèles sponsors. Les filles sont donc invitées à ravaler leurs cordes vocales. Ce qui ne nous pousse pas à crier à la discrimination, mais tout de même… Que fait ce jury à la femme unique et au statut troublé ? Des jurés légitimes certes, mais à la dimension pas forcément portant les mêmes codes d’appréciation. Souhaitons à ces jeunes malmenés un avenir plus fin que leurs rugueuses aspirations. Jamais telle expérience ne fait sortir indemne un gagnant ou un perdant. Tout fluctue. Seule la mort est uniforme.
