Aux quatre coins du globe, les spécialistes n’ont eu de cesse de le répéter : tant qu’aucun vaccin et traitement efficaces n’auront été développés et administrés aux populations saines et malades à grande échelle, la crise du Coronavirus est bien partie pour durer plusieurs mois encore.
Face à cette perspective décourageante, la meilleure réaction consiste, selon les mêmes spécialistes, à accepter la présence de ce virus et à composer avec lui.
Après plusieurs mois de confinement durant lesquels le Maroc semblait recroquevillé dans une posture défensive où nos villes et nos campagnes ont été vidées de leurs habitants pour êtres abandonnées au virus, revoilà la vie et avec elle l’économie qui reprend ses droits.
Dans ce sens, la récente décision des autorités nationales de passer à la troisième phase du processus d’allégement des mesures de confinement sanitaire, est à saluer.
Mais cette décision aurait gagné à être annoncée de façon plus claire, plus cohérente et surtout moins contradictoire que ce que l’on vient de voir.
Après le quiproquo autour du maintien ou non de la distinction entre zones 1 et 2 au lendemain de la publication du communiqué annonçant l’allégement du confinement qui fait qu’au jour d’aujourd’hui on ne sait toujours pas si un voyage à Marrakech par exemple peut être programmé, le comble de la contradiction a été atteint avec l’appel du chef du gouvernement d’éviter les voyages durant la période de l’Aïd Al Adha où les hôteliers réalisent traditionnellement de bonnes recettes grâce au tourisme interne.
En cette période de reconquête de l’espace public et de prémices de renaissance de l’économie nationale, cet appel maladroit, puisque le chef du gouvernement visait certainement les déplacements familiaux et non pas touristiques, a été interprété comme un appel au boycott du tourisme interne et donc des hôtels marocains.
Des hôtels dont le gouvernement vient paradoxalement de relever la capacité d’accueil à 100% et qu’El Othmani appelait ardemment à fréquenter dans une circulaire publiée à l’issue du dernier Conseil de gouvernement, à peine trois jours auparavant !
Face à cette perspective décourageante, la meilleure réaction consiste, selon les mêmes spécialistes, à accepter la présence de ce virus et à composer avec lui.
Après plusieurs mois de confinement durant lesquels le Maroc semblait recroquevillé dans une posture défensive où nos villes et nos campagnes ont été vidées de leurs habitants pour êtres abandonnées au virus, revoilà la vie et avec elle l’économie qui reprend ses droits.
Dans ce sens, la récente décision des autorités nationales de passer à la troisième phase du processus d’allégement des mesures de confinement sanitaire, est à saluer.
Mais cette décision aurait gagné à être annoncée de façon plus claire, plus cohérente et surtout moins contradictoire que ce que l’on vient de voir.
Après le quiproquo autour du maintien ou non de la distinction entre zones 1 et 2 au lendemain de la publication du communiqué annonçant l’allégement du confinement qui fait qu’au jour d’aujourd’hui on ne sait toujours pas si un voyage à Marrakech par exemple peut être programmé, le comble de la contradiction a été atteint avec l’appel du chef du gouvernement d’éviter les voyages durant la période de l’Aïd Al Adha où les hôteliers réalisent traditionnellement de bonnes recettes grâce au tourisme interne.
En cette période de reconquête de l’espace public et de prémices de renaissance de l’économie nationale, cet appel maladroit, puisque le chef du gouvernement visait certainement les déplacements familiaux et non pas touristiques, a été interprété comme un appel au boycott du tourisme interne et donc des hôtels marocains.
Des hôtels dont le gouvernement vient paradoxalement de relever la capacité d’accueil à 100% et qu’El Othmani appelait ardemment à fréquenter dans une circulaire publiée à l’issue du dernier Conseil de gouvernement, à peine trois jours auparavant !