Les prévisions socio-économiques des conjoncturistes sur le Maroc ne sont guère rassurantes pour les jeunes. Déjà suffisamment vulnérable, cette catégorie supposée être active de la population nationale risque de subir en plus du chômage moult tracas supplémentaires à l’ère de la Covid-19. Dans ce contexte marqué par la dégradation de la croissance économique et sous l’hypothèse d’une poursuite de la baisse tendancielle du taux d’activité au niveau national, le taux de chômage devrait atteindre un niveau historique frôlant les 15%, à en croire les projections du Haut-Commissariat au Plan. Ce qui représente une hausse de 5,6 points par rapport à l’année dernière. Ces chiffres alarmants remettent à l’ordre du jour deux interrogations. Primo, comment en sommes-nous arrivés là ? Secundo, que faut-il faire pour y pallier ?
Les députés, dont l’Istiqlalien Omar Abassi, ont bien répondu à la première question, lundi, à l’occasion de la séance mensuelle de politique générale de la Chambre des Représentants. Ce dernier a montré clairement l’échec du gouvernement dans la mise en place des politiques publiques en rapport avec les attentes de la jeunesse marocaine, qui attend un changement concret depuis l’instauration de la Constitution de 2011. Les revendications des jeunes marocains ont été exprimées clairement lors du mouvement du 20 février : «La liberté, la dignité et la justice sociale». Et pour les réaliser, il faut de la volonté, de l’intérêt et surtout de la proximité, sans oublier l’innovation et la créativité.
Pour trouver des solutions aux problèmes de la jeunesse marocaine, il faut d’abord restaurer son capital confiance qui a été encore érodé durant la crise sanitaire. Et pour regagner cette confiance, il est nécessaire de passer de la rhétorique politique aux actes.
Les députés, dont l’Istiqlalien Omar Abassi, ont bien répondu à la première question, lundi, à l’occasion de la séance mensuelle de politique générale de la Chambre des Représentants. Ce dernier a montré clairement l’échec du gouvernement dans la mise en place des politiques publiques en rapport avec les attentes de la jeunesse marocaine, qui attend un changement concret depuis l’instauration de la Constitution de 2011. Les revendications des jeunes marocains ont été exprimées clairement lors du mouvement du 20 février : «La liberté, la dignité et la justice sociale». Et pour les réaliser, il faut de la volonté, de l’intérêt et surtout de la proximité, sans oublier l’innovation et la créativité.
Pour trouver des solutions aux problèmes de la jeunesse marocaine, il faut d’abord restaurer son capital confiance qui a été encore érodé durant la crise sanitaire. Et pour regagner cette confiance, il est nécessaire de passer de la rhétorique politique aux actes.