La saison estivale est grandement entamée et le secteur touristique est encore dans l’expectative. Non par absence de volonté politique ou professionnelle, mais par les nombreuses questions, qui sont autant de défis à relever, que pose l’épidémie du Coronavirus. Même jugulée, sa maîtrise sur le terrain reste aléatoire et des foyers surgissent ici et là sans que l’on ne sache ni comment ni pourquoi. Malgré les mesures de prévention et les consignes de sécurité, globalement respectées, le mal n’est pas éradiqué et bien malin qui dira où il pourrait frapper demain, et avec quelle intensité.
Confronté à ce jeu de patience et d’endurance où la logique est de peu de recours, le secteur du tourisme ne s’avoue pas pour autant vaincu. Au-delà de sa volonté de garder le secteur en vie du point de vue économique, l’autorité de tutelle a lancé une campagne de promotion pour sauver la saison. A défaut de retrouver les chiffres d’antan et le flux touristique international, le tourisme interne est l’unique alternative pour atténuer les effets de la crise frontale qu’essuie l’activité touristique dans ses différentes composantes : hébergement, transport, restauration, animation et loisirs.
De ce point de vue, le pays ne manque pas d’atouts et chaque région est un joyau en soi. Tourisme balnéaire, de montagne ou culturel, le voyageur en quête de dépaysement et de repos, est servi par la nature, de Saïdia à Lagouira, des parcs naturels aux montagnes de l’Atlas. Mais en cette période de vaches maigres où la plupart des budgets sont affectés et les projets de vacances reportés, une attention particulière devrait être accordée aux tarifs appliqués pour rendre ces belles destinations accessibles au plus grand nombre. Pour ce faire, le Parti de l’Istiqlal vient de présenter un opportun projet de loi pour la mise en place de cartes de vacances. L’objectif étant de permettre, malgré cette conjoncture cripsée, des vacances pour tous… ou presque.
Confronté à ce jeu de patience et d’endurance où la logique est de peu de recours, le secteur du tourisme ne s’avoue pas pour autant vaincu. Au-delà de sa volonté de garder le secteur en vie du point de vue économique, l’autorité de tutelle a lancé une campagne de promotion pour sauver la saison. A défaut de retrouver les chiffres d’antan et le flux touristique international, le tourisme interne est l’unique alternative pour atténuer les effets de la crise frontale qu’essuie l’activité touristique dans ses différentes composantes : hébergement, transport, restauration, animation et loisirs.
De ce point de vue, le pays ne manque pas d’atouts et chaque région est un joyau en soi. Tourisme balnéaire, de montagne ou culturel, le voyageur en quête de dépaysement et de repos, est servi par la nature, de Saïdia à Lagouira, des parcs naturels aux montagnes de l’Atlas. Mais en cette période de vaches maigres où la plupart des budgets sont affectés et les projets de vacances reportés, une attention particulière devrait être accordée aux tarifs appliqués pour rendre ces belles destinations accessibles au plus grand nombre. Pour ce faire, le Parti de l’Istiqlal vient de présenter un opportun projet de loi pour la mise en place de cartes de vacances. L’objectif étant de permettre, malgré cette conjoncture cripsée, des vacances pour tous… ou presque.
Abdallah BENSMAÏN