«Al Akhawayn a été en contact permanent avec ses étudiants et leurs familles depuis le début de la crise’’, assure l’AUI dans un communiqué, relevant qu’en coordination avec les ambassades concernées, qui ont démontré «une disponibilité et un engagement sans faille», l’université a fait en sorte que la validité des visas de ses étudiants, notamment ceux se trouvant en Europe et aux États-Unis, soient prolongées au-delà de la validité initiale qui ne couvrait que leur séjour d'études.
Al Akhawayn a également saisi les services européens d'immigration pour que certains de ces étudiants puissent se déplacer au sein de la zone Schengen pour rejoindre des membres de leur famille ou des connaissances. «Au vu de l'excellence des grandes écoles et des universités étrangères hôtes - comme ESSEC Business School à Paris, The University of Texas at Austin, Washington College ou encore Boston College - ainsi que des partenariats forts et de longue date qui les lient à Al Akhawayn, ces institutions ont fait preuve d'une grande générosité à l'égard des étudiants», ajoute la même source.
Les étudiants ont ainsi été autorisés à loger dans les dortoirs des campus universitaires même après la fin du semestre d'études. Dans le cas où l'Université hôte ne disposait pas de dortoirs ou lorsque ceux-ci étaient fermés pour l'été, une coordination entre AUI et ses partenaires a été assurée afin de prendre en charge le logement des étudiants dans des hôtels ou des logements privés.
Al Akhawayn dit entretenir un «contact permanent» avec le ministère des affaires étrangères, de la coopération africaine et des MRE, ainsi que les différentes ambassades du Maroc à l'étranger, pour garantir la planification de ses étudiants dans la liste des rapatriements. Par ailleurs, une vingtaine d'étudiants venant notamment du Danemark, du Mexique, d'Italie, des États-Unis et d'Afghanistan sont restés bloqués au Maroc. Al Akhawayn les a pris en charge au sein de son campus à Ifrane jusqu'au 15 juin, et a continué à y offrir l'accès au-delà de cette date, pour ceux qui ne pouvaient toujours pas retourner à leur pays.
Al Akhawayn a également saisi les services européens d'immigration pour que certains de ces étudiants puissent se déplacer au sein de la zone Schengen pour rejoindre des membres de leur famille ou des connaissances. «Au vu de l'excellence des grandes écoles et des universités étrangères hôtes - comme ESSEC Business School à Paris, The University of Texas at Austin, Washington College ou encore Boston College - ainsi que des partenariats forts et de longue date qui les lient à Al Akhawayn, ces institutions ont fait preuve d'une grande générosité à l'égard des étudiants», ajoute la même source.
Les étudiants ont ainsi été autorisés à loger dans les dortoirs des campus universitaires même après la fin du semestre d'études. Dans le cas où l'Université hôte ne disposait pas de dortoirs ou lorsque ceux-ci étaient fermés pour l'été, une coordination entre AUI et ses partenaires a été assurée afin de prendre en charge le logement des étudiants dans des hôtels ou des logements privés.
Al Akhawayn dit entretenir un «contact permanent» avec le ministère des affaires étrangères, de la coopération africaine et des MRE, ainsi que les différentes ambassades du Maroc à l'étranger, pour garantir la planification de ses étudiants dans la liste des rapatriements. Par ailleurs, une vingtaine d'étudiants venant notamment du Danemark, du Mexique, d'Italie, des États-Unis et d'Afghanistan sont restés bloqués au Maroc. Al Akhawayn les a pris en charge au sein de son campus à Ifrane jusqu'au 15 juin, et a continué à y offrir l'accès au-delà de cette date, pour ceux qui ne pouvaient toujours pas retourner à leur pays.