Le grand déballage
Ce qui était honteux hier et aujourd'hui très chic. La fripe a fait sa mue. Exit les préjugés, place à la stylée seconde main.
Le marché de l'occasion jubile. Adieu misérabilisme, bonjour démocratisation. Toutes les classes s'y pressent. La bourse dicte le goût.
Casablanca, Kénitra. Les puces grouillent. L'inflation ? Quelle inflation ? Ici, les prix restent riquiquis. Le week-end, c'est la ruée. On fouille, on farfouille. Les grandes griffes se cachent dans les montagnes de tissus. À qui trouvera la perle rare.
Sarah, l'écolo-chic en parle : "Ce t-shirt bleu ciel ? Des litres d'eau gaspillés. Son créateur ? Un enfant mal payé. La mode est une industrie sans foi ni loi. Mais on y court quand même".
Salma, la revendeuse branchée, s'enorgueillit : "Ma clientèle ? De l'avocate à la touriste américaine." La fripe, nouveau terrain de jeu des élites.
Brahim, le fripier, a compris le filon. Le neuf ? Trop cher. L'occasion ? Un trésor à portée de main. Manteaux, vestes, sacs. L'accessoire fait l'homme. Et la femme.
Sarah, encore elle, fanfaronne : "Pour 500 dirhams je peux me permettre une garde-robe complète." Son credo ? Deux manteaux d'occase plutôt qu'une chinoiserie neuve. La qualité a un prix. Parfois ridiculement bas.
Le luxe, toujours le luxe. La fast fashion agonise-t-elle ? Que nenni. Mais une nouvelle tendance pointe son nez. Intemporel, qualité, haut de gamme. Le trio gagnant.
À l'étranger, les dépôts-ventes fleurissent. Au Maroc, Marrakech, Casablanca, Rabat. Le luxe s'offre une seconde vie. Dior, Prada, Chanel. À partir de 2000 dirhams: une aubaine pour fashionistas en mal de griffes.
Quelques clics et le tour est joué. Le luxe est, dorénavant, à portée de souris. De talons YSL en sacs Chanel, la chasse aux trésors est ouverte.
La fripe, nouveau chic. Le Maroc s'y met et à fond !
Ce qui était honteux hier et aujourd'hui très chic. La fripe a fait sa mue. Exit les préjugés, place à la stylée seconde main.
Le marché de l'occasion jubile. Adieu misérabilisme, bonjour démocratisation. Toutes les classes s'y pressent. La bourse dicte le goût.
Casablanca, Kénitra. Les puces grouillent. L'inflation ? Quelle inflation ? Ici, les prix restent riquiquis. Le week-end, c'est la ruée. On fouille, on farfouille. Les grandes griffes se cachent dans les montagnes de tissus. À qui trouvera la perle rare.
Sarah, l'écolo-chic en parle : "Ce t-shirt bleu ciel ? Des litres d'eau gaspillés. Son créateur ? Un enfant mal payé. La mode est une industrie sans foi ni loi. Mais on y court quand même".
Salma, la revendeuse branchée, s'enorgueillit : "Ma clientèle ? De l'avocate à la touriste américaine." La fripe, nouveau terrain de jeu des élites.
Brahim, le fripier, a compris le filon. Le neuf ? Trop cher. L'occasion ? Un trésor à portée de main. Manteaux, vestes, sacs. L'accessoire fait l'homme. Et la femme.
Sarah, encore elle, fanfaronne : "Pour 500 dirhams je peux me permettre une garde-robe complète." Son credo ? Deux manteaux d'occase plutôt qu'une chinoiserie neuve. La qualité a un prix. Parfois ridiculement bas.
Le luxe, toujours le luxe. La fast fashion agonise-t-elle ? Que nenni. Mais une nouvelle tendance pointe son nez. Intemporel, qualité, haut de gamme. Le trio gagnant.
À l'étranger, les dépôts-ventes fleurissent. Au Maroc, Marrakech, Casablanca, Rabat. Le luxe s'offre une seconde vie. Dior, Prada, Chanel. À partir de 2000 dirhams: une aubaine pour fashionistas en mal de griffes.
Le web, nouvel eldorado
Quelques clics et le tour est joué. Le luxe est, dorénavant, à portée de souris. De talons YSL en sacs Chanel, la chasse aux trésors est ouverte.
La fripe, nouveau chic. Le Maroc s'y met et à fond !