Une coalition dominée par les islamistes de Hayat Tahrir al-Sham (HTS), l'ex-branche syrienne d'Al-Qaïda, a lancé mercredi cette offensive depuis la région d'Idleb (nord-ouest), dernier bastion échappant au régime de Bachar al-Assad, prenant le contrôle de la majeure partie d'Alep, deuxième ville du pays, et de plusieurs autres localités, notamment dans la province de Hama.
Selon l'OSDH, "les forces du régime ont réorganisé leurs positions militaires, établi de nouveaux points de contrôle en périphérie de Hama et envoyé d'importants renforts vers des localités stratégiques" dans le nord de la province.
Ces mesures visent, d'après le directeur de l'Observatoire, Rami Abdel Rahmane, à "empêcher toute tentative d'infiltration ou de percée de la part de Hayat Tahrir al-Sham et des factions rebelles", après la prise samedi de localités stratégiques dans cette région.
Le ministère syrien de la Défense a affirmé que les unités de l'armée avaient "renforcé leurs lignes défensives avec divers moyens de feu, équipements et effectifs", et combattu "les groupes terroristes" pour empêcher toute avancée.
Depuis mercredi, l'offensive a fait plus de 330 morts, selon l'OSDH, et suscité l'inquiétude de la communauté internationale. Le président syrien a assuré que son pays était capable "de vaincre les terroristes".
Ces violences sont les premières de cette ampleur depuis plusieurs années en Syrie, où une guerre dévastatrice avait été déclenchée en 2011, impliquant des belligérants soutenus par différentes puissances régionales et internationales, et des groupes jihadistes.
Avec l'appui militaire crucial de la Russie, de l'Iran et du Hezbollah libanais, ses alliés, le régime de Bachar al-Assad a lancé en 2015 une contre-offensive qui lui a permis de reprendre progressivement le contrôle d'une grande partie du pays, et en 2016 la totalité de la cité d'Alep.
L'OSDH a fait état de raids aériens russes avant l'aube sur Alep, les premiers depuis sa reprise par le régime, avant d'indiquer dimanche que la ville échappait désormais au contrôle du régime.a
Selon l'OSDH, "les forces du régime ont réorganisé leurs positions militaires, établi de nouveaux points de contrôle en périphérie de Hama et envoyé d'importants renforts vers des localités stratégiques" dans le nord de la province.
Ces mesures visent, d'après le directeur de l'Observatoire, Rami Abdel Rahmane, à "empêcher toute tentative d'infiltration ou de percée de la part de Hayat Tahrir al-Sham et des factions rebelles", après la prise samedi de localités stratégiques dans cette région.
Le ministère syrien de la Défense a affirmé que les unités de l'armée avaient "renforcé leurs lignes défensives avec divers moyens de feu, équipements et effectifs", et combattu "les groupes terroristes" pour empêcher toute avancée.
Depuis mercredi, l'offensive a fait plus de 330 morts, selon l'OSDH, et suscité l'inquiétude de la communauté internationale. Le président syrien a assuré que son pays était capable "de vaincre les terroristes".
Ces violences sont les premières de cette ampleur depuis plusieurs années en Syrie, où une guerre dévastatrice avait été déclenchée en 2011, impliquant des belligérants soutenus par différentes puissances régionales et internationales, et des groupes jihadistes.
Avec l'appui militaire crucial de la Russie, de l'Iran et du Hezbollah libanais, ses alliés, le régime de Bachar al-Assad a lancé en 2015 une contre-offensive qui lui a permis de reprendre progressivement le contrôle d'une grande partie du pays, et en 2016 la totalité de la cité d'Alep.
L'OSDH a fait état de raids aériens russes avant l'aube sur Alep, les premiers depuis sa reprise par le régime, avant d'indiquer dimanche que la ville échappait désormais au contrôle du régime.a