Le maire d'Algésiras, José Ignacio Landaluce.
L’annonce de la reprise des vols depuis et vers le Royaume à partir du 15 juin n’a pas manqué de susciter inquiétude et colère de l'autre côté du Détroit. A l'instar de 2020, le retour par voie maritime des Marocains bloqués ou résidant à l’étranger ne sera possible que via les lignes maritimes opérées depuis la France et l’Italie, excluant les ports espagnols.
Une décision qui a suscité la colère et l’indignation de José Ignacio Landalucen, le maire d'Algésiras, d'où la plupart des Marocains traversent le détroit chaque été dans le cadre de l'opération Marhaba, connue en Espagne par l'Opération Paso del Estrecho (OPE).
« L'absence d'Opération Paso del Estrecho (OPE) est une catastrophe pour des milliers de salariés et d'entreprises de Hendaye (frontière fanco-espagnole, ndlr) à Algésiras", a-t-il rappelé dans une déclaration reprise par ABC.
Et d'ajouter, sur une note d'optimisme, «on espère qu'il y aura un retour sur la décision, car on parle de milliers d'emplois dans des structures comme les compagnies maritimes, les stations-service, les hôtels, les restaurants, les agences de voyages…».
Une décision qui a suscité la colère et l’indignation de José Ignacio Landalucen, le maire d'Algésiras, d'où la plupart des Marocains traversent le détroit chaque été dans le cadre de l'opération Marhaba, connue en Espagne par l'Opération Paso del Estrecho (OPE).
« L'absence d'Opération Paso del Estrecho (OPE) est une catastrophe pour des milliers de salariés et d'entreprises de Hendaye (frontière fanco-espagnole, ndlr) à Algésiras", a-t-il rappelé dans une déclaration reprise par ABC.
Et d'ajouter, sur une note d'optimisme, «on espère qu'il y aura un retour sur la décision, car on parle de milliers d'emplois dans des structures comme les compagnies maritimes, les stations-service, les hôtels, les restaurants, les agences de voyages…».