En quelques mois d’existence, la Fédération des Industries Culturelles et Créatives (FICC) peut se prévaloir d’un premier bilan prometteur. Après les Assises de la Culture, tenues en octobre 2019, qui s’imposent comme un jalon important pour une réflexion décisive et porteuse d’avenir sur une industrie qui a peine à s’identifier ou à être identifiée comme telle, sur le plan national.
L’Etat, comme les acteurs des différents secteurs de la Culture, n’a, semble-t-il, pas encore dégagé une politique d’ensemble qui concerne aussi bien le livre que le cinéma, la presse ou les industries publicitaires, pour ne citer que ces parties constituantes et force d’entraînement des industries de la Culture et créatives.
L’Etat, comme les acteurs des différents secteurs de la Culture, n’a, semble-t-il, pas encore dégagé une politique d’ensemble qui concerne aussi bien le livre que le cinéma, la presse ou les industries publicitaires, pour ne citer que ces parties constituantes et force d’entraînement des industries de la Culture et créatives.
Une politique compartimentée
La politique publique qui s’exprime dans les subventions le montre avec suffisamment de clarté : c’est une politique d’intervention compartimentée, pour ne pas dire fermée, car étanche et cloisonnée.
Dans ce contexte, l’objectif à long terme est de passer d’une « culture de la subvention », sou-vent à perte, à une culture de la rentabilité et du retour sur investissement, comme cela est universellement admis pour l’entreprise. Et qui dit « Industrie » dit « Entreprise » et « Production » de biens (livre, film, etc.) et services (distribution, par exemple).
Dans cette logique de proposition, la Fédération des Industries Culturelles et Créatives a réuni ses membres en séminaire d’information, au siège de la CGEM, autour de la question des « Droits d›Auteur et Droits Voisins ».
La FICC a réuni, pour les besoins de la cause, un panel d›experts pour « échanger, débattre et émettre des recommandations sur les réformes à entreprendre pour garantir une gestion optimale » des Droits d›Auteur et Droits Voisins.
Le séminaire a rassemblé une quarantaine d›entrepreneurs culturels (cinéma, audiovisuel, musique, spectacles vivants, arts visuels, édition et espaces de diffusion culturelle) pour écouter des experts de la question des droits d’auteur, débattre et formuler des recommandations, dans une logique de valorisation du patrimoine matériel et immatériel, dans un marché économique en pleine construction, selon le communiqué de la FICC.
Les membres de la FICC ont souligné également « l’inadéquation des textes juridiques » par rap-port aux réalités économiques des Industries Culturelles et Créatives et rappelé qu’il revient à l’Etat d’assurer la protection et la garantie de la propriété intellectuelle des opérateurs et entreprises privées du secteur.
Dans ce contexte, l’objectif à long terme est de passer d’une « culture de la subvention », sou-vent à perte, à une culture de la rentabilité et du retour sur investissement, comme cela est universellement admis pour l’entreprise. Et qui dit « Industrie » dit « Entreprise » et « Production » de biens (livre, film, etc.) et services (distribution, par exemple).
Dans cette logique de proposition, la Fédération des Industries Culturelles et Créatives a réuni ses membres en séminaire d’information, au siège de la CGEM, autour de la question des « Droits d›Auteur et Droits Voisins ».
La FICC a réuni, pour les besoins de la cause, un panel d›experts pour « échanger, débattre et émettre des recommandations sur les réformes à entreprendre pour garantir une gestion optimale » des Droits d›Auteur et Droits Voisins.
Le séminaire a rassemblé une quarantaine d›entrepreneurs culturels (cinéma, audiovisuel, musique, spectacles vivants, arts visuels, édition et espaces de diffusion culturelle) pour écouter des experts de la question des droits d’auteur, débattre et formuler des recommandations, dans une logique de valorisation du patrimoine matériel et immatériel, dans un marché économique en pleine construction, selon le communiqué de la FICC.
Les membres de la FICC ont souligné également « l’inadéquation des textes juridiques » par rap-port aux réalités économiques des Industries Culturelles et Créatives et rappelé qu’il revient à l’Etat d’assurer la protection et la garantie de la propriété intellectuelle des opérateurs et entreprises privées du secteur.