Après avoir pris connaissance de la partie consacrée au Maroc dans le rapport de HRW, la DIDH déplore, dans un communiqué, que "l'organisation persiste dans ses campagnes hostiles à notre pays et à adopter une démarche d'évaluation de la situation des droits de l'Homme au Maroc transgressant de manière délibérée les principales règles méthodologiques et normes reconnues dans le travail des ONG, à savoir l’impartialité, l'objectivité et le professionnalisme".
Présentant des précisions à ce sujet, la délégation interministérielle souligne qu'"en raison de l'incapacité de cette organisation à projeter une image réaliste sur les droits de l'Homme au Maroc, son rapport s'est limité au recyclage d’allégations ressassées dans les précédents rapports sur la base de récits unilatéraux et désuets, véhiculés par des parties hostiles ou instrumentalisant le dossier des droits de l'Homme à des fins spécifiques ". A titre illustratif, la DIDH cite des événements qui remontent à près d'une décennie ou plus, et d'autres ayant trait à des questions déjà traitées dans le cadre du plein respect de la légalité juridique et des droits humains, tout en s'obstinant à ignorer les principales données fiables fournies de sources officielles, y compris celles disponibles sur les pages électroniques officielles des Mécanismes des droits de l'Homme de l'ONU.
Aussi, "l’organisation a-t-elle reproduit certains paragraphes de ses rapports antérieurs, en lien avec son parti pris pour les allégations colportées par l’une des associations qui prétend que son travail est entravé, sans que l'ONG ne fournisse des données documentées susceptibles de justifier ces allégations".
Le rapport, note la DIDH, "révèle la persistance de l'approche sélective adoptée par l'organisation ainsi que son impartialité en s'intéressant uniquement à certaines affaires soumises à la justice, tout en passant d'autres sous silence".
L'organisation est allée jusqu'à formuler des conclusions générales sans pour autant fournir des preuves pour les étayer, en l'absence d'une analyse indépendante et de présentation de données tirées d'une lecture raisonnée des jugements et décisions judiciaires, tout en faisant l'impasse sur les données disponibles produites par des institutions indépendantes habilitées à assurer le suivi du déroulement des procès y afférents.
"Certains dossiers soulevés à nouveau dans ce rapport avaient été abandonnés dans les précédents rapports de l'organisation", relève le communiqué, soulignant que le fait de revenir sur ces affaires dévoile les véritables desseins des auteurs du rapport.
Le rapport dénote de même l'incapacité de l'organisation à suivre la cadence des réalisations et la dynamique des droits de l'Homme au Maroc, en persistant dans ses choix délibérés à véhiculer de fausses allégations et des faits dénués de toute crédibilité, au moment où le Royaume est ouvert à toute forme d'observation internationale, particulièrement le système des droits de l'Homme des Nations Unies, à la faveur d'une interaction soutenue au cours des deux dernières années et d'une dynamique qui a démontré de toute évidence le caractère infondé de ces allégations, surtout que ces échéances internationales ont abordé entre autres les questions faisant l'objet de ce rapport et auxquelles l'organisation n'a prêté aucune attention.
Autre fait révélateur du manque flagrant de professionnalisme: l'organisation a fait l'impasse sur les données substantielles fournies par la Conseil national des droits de l'Homme concernant ses rôles en matière de protection des droits humains, notamment ses mécanismes nationaux dont les rapports périodiques témoignent des efforts colossaux déployés par le Royaume dans le domaine de la promotion des droits humains, poursuit-t-on de même source.
Selon la DIDH, le rapport manque de preuves tangibles et suffisantes pour étayer les allégations sur de prétendus dépassements ou violations, sachant que cette organisation adopte une approche de promotion des discours de parties connues pour l'instrumentalisation des droits de l’Homme à des fins politiciennes, en ayant recours à des propos vagues dénotant une mauvaise foi et une certaine hostilité. La Délégation interministérielle cite à titre d'exemple des allégations comme : "incarcération d’individus dans une prétendue vengeance pour leurs critiques", "recours à des tactiques tordues dans le but d'écraser l’opposition et les opposants", "climat répressif".
Il s'agit aussi d’adopter de prétendues allégations comme "l’exploitation au fil des années de textes juridiques pour poursuivre des individus et les emprisonner ...
Présentant des précisions à ce sujet, la délégation interministérielle souligne qu'"en raison de l'incapacité de cette organisation à projeter une image réaliste sur les droits de l'Homme au Maroc, son rapport s'est limité au recyclage d’allégations ressassées dans les précédents rapports sur la base de récits unilatéraux et désuets, véhiculés par des parties hostiles ou instrumentalisant le dossier des droits de l'Homme à des fins spécifiques ". A titre illustratif, la DIDH cite des événements qui remontent à près d'une décennie ou plus, et d'autres ayant trait à des questions déjà traitées dans le cadre du plein respect de la légalité juridique et des droits humains, tout en s'obstinant à ignorer les principales données fiables fournies de sources officielles, y compris celles disponibles sur les pages électroniques officielles des Mécanismes des droits de l'Homme de l'ONU.
Aussi, "l’organisation a-t-elle reproduit certains paragraphes de ses rapports antérieurs, en lien avec son parti pris pour les allégations colportées par l’une des associations qui prétend que son travail est entravé, sans que l'ONG ne fournisse des données documentées susceptibles de justifier ces allégations".
Le rapport, note la DIDH, "révèle la persistance de l'approche sélective adoptée par l'organisation ainsi que son impartialité en s'intéressant uniquement à certaines affaires soumises à la justice, tout en passant d'autres sous silence".
L'organisation est allée jusqu'à formuler des conclusions générales sans pour autant fournir des preuves pour les étayer, en l'absence d'une analyse indépendante et de présentation de données tirées d'une lecture raisonnée des jugements et décisions judiciaires, tout en faisant l'impasse sur les données disponibles produites par des institutions indépendantes habilitées à assurer le suivi du déroulement des procès y afférents.
"Certains dossiers soulevés à nouveau dans ce rapport avaient été abandonnés dans les précédents rapports de l'organisation", relève le communiqué, soulignant que le fait de revenir sur ces affaires dévoile les véritables desseins des auteurs du rapport.
Le rapport dénote de même l'incapacité de l'organisation à suivre la cadence des réalisations et la dynamique des droits de l'Homme au Maroc, en persistant dans ses choix délibérés à véhiculer de fausses allégations et des faits dénués de toute crédibilité, au moment où le Royaume est ouvert à toute forme d'observation internationale, particulièrement le système des droits de l'Homme des Nations Unies, à la faveur d'une interaction soutenue au cours des deux dernières années et d'une dynamique qui a démontré de toute évidence le caractère infondé de ces allégations, surtout que ces échéances internationales ont abordé entre autres les questions faisant l'objet de ce rapport et auxquelles l'organisation n'a prêté aucune attention.
Autre fait révélateur du manque flagrant de professionnalisme: l'organisation a fait l'impasse sur les données substantielles fournies par la Conseil national des droits de l'Homme concernant ses rôles en matière de protection des droits humains, notamment ses mécanismes nationaux dont les rapports périodiques témoignent des efforts colossaux déployés par le Royaume dans le domaine de la promotion des droits humains, poursuit-t-on de même source.
Selon la DIDH, le rapport manque de preuves tangibles et suffisantes pour étayer les allégations sur de prétendus dépassements ou violations, sachant que cette organisation adopte une approche de promotion des discours de parties connues pour l'instrumentalisation des droits de l’Homme à des fins politiciennes, en ayant recours à des propos vagues dénotant une mauvaise foi et une certaine hostilité. La Délégation interministérielle cite à titre d'exemple des allégations comme : "incarcération d’individus dans une prétendue vengeance pour leurs critiques", "recours à des tactiques tordues dans le but d'écraser l’opposition et les opposants", "climat répressif".
Il s'agit aussi d’adopter de prétendues allégations comme "l’exploitation au fil des années de textes juridiques pour poursuivre des individus et les emprisonner ...