Afin de réaliser cette opération, un protocole sanitaire et diplomatique exceptionnel a été mis en place par le directeur de l'Office français de l'immigration et de l'intégration (OFII), et négocié avec le Centre interministériel de crise (CIC), la préfecture de Haute-Corse ainsi que les autorités marocaines. L’objectif : sauver les récoltes de clémentines sur l'île du sud de la France.
Pour faire venir ces travailleurs, l'OFII a dû négocier un protocole exceptionnel avec les autorités marocaines pour que les personnes puissent circuler au sein du Maroc pour pouvoir prendre les vols, après avoir été reçus par les bureaux de l'Office à Casablanca.
Les ressortissants marocains qui atterriront en Corse à partir de vendredi, devront se soumettre à des tests PCR au départ de Casablanca et à l'arrivée en Corse puis sept jours après leur arrivée, a précisé l'Office français de l'immigration et de l'intégration (OFII).
Avec AFP
Les cinq vols qui transporteront les 902 travailleurs marocains, à l’aller et au retour seront financés par les agriculteurs corses, qui avaient peur de perdre leurs récoltes et pour lesquels il s'agit d'un impératif.
La pandémie de coronavirus et la fermeture des frontières extérieures de l'Union européenne avaient mis un frein à l'arrivée des travailleurs saisonniers, notamment ceux en provenance du Maghreb qui représentent une part essentielle des saisonniers étrangers en France.
Pour faire venir ces travailleurs, l'OFII a dû négocier un protocole exceptionnel avec les autorités marocaines pour que les personnes puissent circuler au sein du Maroc pour pouvoir prendre les vols, après avoir été reçus par les bureaux de l'Office à Casablanca.
Les ressortissants marocains qui atterriront en Corse à partir de vendredi, devront se soumettre à des tests PCR au départ de Casablanca et à l'arrivée en Corse puis sept jours après leur arrivée, a précisé l'Office français de l'immigration et de l'intégration (OFII).
Avec AFP
Les cinq vols qui transporteront les 902 travailleurs marocains, à l’aller et au retour seront financés par les agriculteurs corses, qui avaient peur de perdre leurs récoltes et pour lesquels il s'agit d'un impératif.
La pandémie de coronavirus et la fermeture des frontières extérieures de l'Union européenne avaient mis un frein à l'arrivée des travailleurs saisonniers, notamment ceux en provenance du Maghreb qui représentent une part essentielle des saisonniers étrangers en France.
