Cette convention qui a d’abord été approuvé le 08 septembre en Conseil des ministres, a également été adoptée par la Commission des Affaires étrangères du Congrès des députés le 19 octobre dernier.
En plus de définir une référence spécifique au terrorisme, le texte en question détermine les dispositions et mesures relatives à la lutte contre le crime organisé.
L’accord, composé d’un préambule et quinze articles, intervient pour répondre à la préoccupation des deux pays, concernant l’étendue des phénomènes criminels et l’importance des défis à relever face à la traite des personnes, le terrorisme, le trafic de drogue et les nouvelles manifestations de la criminalité transnationale organisée.
Aussi, l’accord définit de manière détaillée les crimes dont il est question dans la convention, et édicte les points les plus importants dans le domaine de la coopération,notamment dans le cadre des activités opérationnelles et d’enquête des différentes formes de criminalité.
En plus de définir une référence spécifique au terrorisme, le texte en question détermine les dispositions et mesures relatives à la lutte contre le crime organisé.
L’accord, composé d’un préambule et quinze articles, intervient pour répondre à la préoccupation des deux pays, concernant l’étendue des phénomènes criminels et l’importance des défis à relever face à la traite des personnes, le terrorisme, le trafic de drogue et les nouvelles manifestations de la criminalité transnationale organisée.
Aussi, l’accord définit de manière détaillée les crimes dont il est question dans la convention, et édicte les points les plus importants dans le domaine de la coopération,notamment dans le cadre des activités opérationnelles et d’enquête des différentes formes de criminalité.