Des corps fatigués
Juste avant l’apparition et l’amplification de Coronavirus les blessures ont frappé à une cadence élevée plusieurs joueurs. Ces blessures ont commencé à inquiéter. La situation était devenue grave. Puis il y eu l’épidémie, laquelle épidémie a migré vers une pandémie. Les activités sportives, après s’être mises au ralenti, se sont arrêtées. Aujourd’hui si le danger perdure, on ira vers le pire. A voir ce qui se passe ailleurs, le pessimisme est de rigueur.
Mais la pandémie Covid-19 au moins aura permis au Raja, au Wydad et à toutes les autres équipes victimes de surmenage physique de s’arrêter, d’expirer, de respirer et de récupérer. La fréquence trop élevée des blessures n’était qu’une manifestation d’un malaise corporel chez les joueurs. Les corps soumis à une tension permanente et trop sollicités se sont usés. À force de les tendre, ils ont fini par « casser » !
Juste avant l’apparition et l’amplification de Coronavirus les blessures ont frappé à une cadence élevée plusieurs joueurs. Ces blessures ont commencé à inquiéter. La situation était devenue grave. Puis il y eu l’épidémie, laquelle épidémie a migré vers une pandémie. Les activités sportives, après s’être mises au ralenti, se sont arrêtées. Aujourd’hui si le danger perdure, on ira vers le pire. A voir ce qui se passe ailleurs, le pessimisme est de rigueur.
Mais la pandémie Covid-19 au moins aura permis au Raja, au Wydad et à toutes les autres équipes victimes de surmenage physique de s’arrêter, d’expirer, de respirer et de récupérer. La fréquence trop élevée des blessures n’était qu’une manifestation d’un malaise corporel chez les joueurs. Les corps soumis à une tension permanente et trop sollicités se sont usés. À force de les tendre, ils ont fini par « casser » !
Un repos forcé salvateur :
L’arrêt forcé des activités permettra aux blessures et plaies de se cicatriser, aux corps surchargés, épuisés et meurtris de se rafraichir, de s’apaiser et de se revigorer. Le repos est un principe fondamental pour réparer les tissus, pour se reconstruire, pour redevenir performant. Se reposer n’est pas une perte de temps.
Le devenir est incertain. Personne ne peut spéculer sur une date précise d’un retour à la vie normale. Le chômage sportif et le chômage technique risquent de durer encore. Mais la suspension est la solution qui convient le mieux. Autant positiver et voir le « bon » côté de la chose. S’il n’y avait pas eu cet arrêt forcé, les équipes en souffrance auraient eu des difficultés pour terminer le parcours. Ils auraient peut être raté les objectifs fixés. Le repos forcé est un moment de répit. Il leur sera utile pour reprendre le reste des compétitions du bon côté. Même si les apparences sont trompeuses.
Le devenir est incertain. Personne ne peut spéculer sur une date précise d’un retour à la vie normale. Le chômage sportif et le chômage technique risquent de durer encore. Mais la suspension est la solution qui convient le mieux. Autant positiver et voir le « bon » côté de la chose. S’il n’y avait pas eu cet arrêt forcé, les équipes en souffrance auraient eu des difficultés pour terminer le parcours. Ils auraient peut être raté les objectifs fixés. Le repos forcé est un moment de répit. Il leur sera utile pour reprendre le reste des compétitions du bon côté. Même si les apparences sont trompeuses.
Abderrahmane KITABRI