Ce potentiel est confirmé par la signature récemment d’un accord entre l’Allemagne et le Royaume pour mettre en place une usine pilote de production d'hydrogène propre dans le but d'atténuer 100.000 tonnes de CO2, a relevé le site d’information européen dans un article faisant partie du rapport spécial «Le Monde en 2050», mettant en avant l’intérêt croissant de l’Europe pour l’hydrogène vert en tant que pilier de la transition énergétique.
Le site souligne à cet égard que l’accord signé avec le Maroc s’inscrit dans le cadre d'une stratégie plus large de l'hydrogène en Allemagne qui vise à investir 9 milliards d'euros pour stimuler la production de carburant propre, dont 2 milliards d'euros seront utilisés pour augmenter la production étrangère, y compris au Maroc.
Cette stratégie tend à améliorer les conditions-cadres de production et d'utilisation de l'hydrogène, à mettre en place les structures d'approvisionnement nécessaires et à faire avancer la recherche scientifique et les innovations, rappelle-t-on.
Le portail européen note que l'initiative allemande n'est pas le seul gros investissement dans les énergies renouvelables reliant le Maroc et l'UE, faisant référence en particulier au méga projet Noor Ouarzazate, «la plus grande centrale solaire concentrée au monde».
Une infrastructure importante
Le portail fait remarquer, en outre, que le Maroc est «le seul pays d'Afrique du Nord qui dispose d'un câble d'alimentation le reliant au réseau européen». Par ailleurs, le potentiel du Maroc pour la production de l'hydrogène est conforté par son positionnement en Afrique. Le site cite dans ce sens la déclaration du ministre allemand du Développement, Gerd Müller, qui a affirmé, à l’occasion de la signature de l’accord la semaine dernière, que les conditions de production d'hydrogène en Afrique sont idéales.
Selon «Politico», si l'Europe tire actuellement une grande partie de son énergie de l'autre côté de la Méditerranée, cela pourrait ne pas changer dans un monde climatiquement neutre.
«Plus nous pouvons avoir une double utilisation des infrastructures, mieux c'est - aussi pour rendre la transition vers l'hydrogène vert abordable à l'avenir», avait assuré le chef de la Commission en charge du plan vert européen «Green Deal», Frans Timmermans, rapporte le site.
Le site souligne à cet égard que l’accord signé avec le Maroc s’inscrit dans le cadre d'une stratégie plus large de l'hydrogène en Allemagne qui vise à investir 9 milliards d'euros pour stimuler la production de carburant propre, dont 2 milliards d'euros seront utilisés pour augmenter la production étrangère, y compris au Maroc.
Cette stratégie tend à améliorer les conditions-cadres de production et d'utilisation de l'hydrogène, à mettre en place les structures d'approvisionnement nécessaires et à faire avancer la recherche scientifique et les innovations, rappelle-t-on.
Le portail européen note que l'initiative allemande n'est pas le seul gros investissement dans les énergies renouvelables reliant le Maroc et l'UE, faisant référence en particulier au méga projet Noor Ouarzazate, «la plus grande centrale solaire concentrée au monde».
Une infrastructure importante
Le portail fait remarquer, en outre, que le Maroc est «le seul pays d'Afrique du Nord qui dispose d'un câble d'alimentation le reliant au réseau européen». Par ailleurs, le potentiel du Maroc pour la production de l'hydrogène est conforté par son positionnement en Afrique. Le site cite dans ce sens la déclaration du ministre allemand du Développement, Gerd Müller, qui a affirmé, à l’occasion de la signature de l’accord la semaine dernière, que les conditions de production d'hydrogène en Afrique sont idéales.
Selon «Politico», si l'Europe tire actuellement une grande partie de son énergie de l'autre côté de la Méditerranée, cela pourrait ne pas changer dans un monde climatiquement neutre.
«Plus nous pouvons avoir une double utilisation des infrastructures, mieux c'est - aussi pour rendre la transition vers l'hydrogène vert abordable à l'avenir», avait assuré le chef de la Commission en charge du plan vert européen «Green Deal», Frans Timmermans, rapporte le site.