
Le Haut-commissariat aux anciens résistants et anciens membres de l’armée de libération a souligné l'importance de ce soulèvement populaire déclenché partout au Maroc, notamment dans les régions de l’Atlas et du Rif, après la mise en place du protectorat le 30 mars 1912, pour réclamer la liberté et l’indépendance du Royaume.
Le Haut-commissariat a rappelé que les tribus d’Aït Baâmrane, et dans le même élan patriotique qui animait les différentes régions du Maroc, ont fait montre de persévérance, de courage et d’héroïsme pour mettre en échec les plans des autorités coloniales espagnoles visant à rattacher définitivement la région à l’Espagne.
En effet, et de par sa situation stratégique et ses ressources, la ville de Sidi Ifni était très convoitée par l’Espagne qui l’a occupée en 1934 et l’a déclarée ensuite «capitale du gouvernement d’Afrique du Nord espagnole».
Cette proclamation a offensé la dignité des tribus de la région qui ont pris les armes lorsque les autorités d’occupation décidèrent d’imposer, en 1946, la nationalité espagnole aux habitants de Sidi Ifni.
En dépit de la modestie de leurs moyens, les combattants d’Aït Baâmrane ont mené une série d’attaques en 1957 contre 16 postes des militaires espagnols, marquant ainsi le premier pas vers le recouvrement de la liberté et de l’indépendance.
Ainsi, les Aït Baâmrane, hommes et femmes d’une bravoure légendaire, ont été le fer de lance de la résistance nationale dans le Sud du Maroc et les pourvoyeurs des nationalistes du Nord en armes, à travers leurs cellules de résistance, affirmant ainsi leur attachement à leur marocanité et au glorieux trône alaouite.
Le combat a pris ensuite toute sa dimension, lorsqu’en 1963, feu SM Hassan II avait saisi l’occasion d’une escale à Madrid pour rappeler au chef de l’État espagnol de l’époque que le Maroc entendait, en toute légitimité, reprendre l’enclave d’Ifni sous sa souveraineté.
Le 18 mai 1972, la ville de Sidi Ifni a eu le privilège, après sa rétrocession, d’accueillir feu SM Hassan II, une visite qui symbolise l’importance stratégique que les Souverains marocains ont toujours accordée à toutes les provinces du Sud.
En effet, la récupération de Sidi Ifni constitue une fierté pour l’ensemble des Marocains, de par sa symbolique et sa valeur historique, et permet de rappeler les épopées du combat national pour l’indépendance et l’unité nationale, en s’inspirant des valeurs de résistance, de mobilisation globale et d’attachement solide du peuple marocain à la patrie, du Sahara au nord du Royaume.
La récupération de la ville ne représentait pour le Royaume que le point de départ d’un long chemin de lutte pour le parachèvement de son intégrité territoriale et qui a été couronné, le 6 novembre 1975, par la glorieuse Marche verte, initiée avec génie par feu SM Hassan II pour la libération du Sahara marocain.
Suivant la voie tracée par Ses illustres ancêtres, SM le Roi Mohammed VI a repris le flambeau du combat contre toutes les manœuvres visant à porter atteinte à la souveraineté du Maroc et pour assurer le développement et la prospérité des provinces du Sud et le bien-être de leurs populations.
Le Haut-commissariat aux anciens résistants et anciens membres de l’armée de libération a renouvelé, à cette occasion, sa position ferme sur la question de l’intégrité territoriale du Royaume et son attachement à l'initiative marocaine d'accorder une large autonomie aux provinces du Sud.
La célébration de cet anniversaire sera marquée par l'hommage qui sera rendu à un groupe d’anciens résistants ainsi que par la distribution d'aides financière.
Le Haut-commissariat a rappelé que les tribus d’Aït Baâmrane, et dans le même élan patriotique qui animait les différentes régions du Maroc, ont fait montre de persévérance, de courage et d’héroïsme pour mettre en échec les plans des autorités coloniales espagnoles visant à rattacher définitivement la région à l’Espagne.
En effet, et de par sa situation stratégique et ses ressources, la ville de Sidi Ifni était très convoitée par l’Espagne qui l’a occupée en 1934 et l’a déclarée ensuite «capitale du gouvernement d’Afrique du Nord espagnole».
Cette proclamation a offensé la dignité des tribus de la région qui ont pris les armes lorsque les autorités d’occupation décidèrent d’imposer, en 1946, la nationalité espagnole aux habitants de Sidi Ifni.
En dépit de la modestie de leurs moyens, les combattants d’Aït Baâmrane ont mené une série d’attaques en 1957 contre 16 postes des militaires espagnols, marquant ainsi le premier pas vers le recouvrement de la liberté et de l’indépendance.
Ainsi, les Aït Baâmrane, hommes et femmes d’une bravoure légendaire, ont été le fer de lance de la résistance nationale dans le Sud du Maroc et les pourvoyeurs des nationalistes du Nord en armes, à travers leurs cellules de résistance, affirmant ainsi leur attachement à leur marocanité et au glorieux trône alaouite.
Le combat a pris ensuite toute sa dimension, lorsqu’en 1963, feu SM Hassan II avait saisi l’occasion d’une escale à Madrid pour rappeler au chef de l’État espagnol de l’époque que le Maroc entendait, en toute légitimité, reprendre l’enclave d’Ifni sous sa souveraineté.
Le 18 mai 1972, la ville de Sidi Ifni a eu le privilège, après sa rétrocession, d’accueillir feu SM Hassan II, une visite qui symbolise l’importance stratégique que les Souverains marocains ont toujours accordée à toutes les provinces du Sud.
En effet, la récupération de Sidi Ifni constitue une fierté pour l’ensemble des Marocains, de par sa symbolique et sa valeur historique, et permet de rappeler les épopées du combat national pour l’indépendance et l’unité nationale, en s’inspirant des valeurs de résistance, de mobilisation globale et d’attachement solide du peuple marocain à la patrie, du Sahara au nord du Royaume.
La récupération de la ville ne représentait pour le Royaume que le point de départ d’un long chemin de lutte pour le parachèvement de son intégrité territoriale et qui a été couronné, le 6 novembre 1975, par la glorieuse Marche verte, initiée avec génie par feu SM Hassan II pour la libération du Sahara marocain.
Suivant la voie tracée par Ses illustres ancêtres, SM le Roi Mohammed VI a repris le flambeau du combat contre toutes les manœuvres visant à porter atteinte à la souveraineté du Maroc et pour assurer le développement et la prospérité des provinces du Sud et le bien-être de leurs populations.
Le Haut-commissariat aux anciens résistants et anciens membres de l’armée de libération a renouvelé, à cette occasion, sa position ferme sur la question de l’intégrité territoriale du Royaume et son attachement à l'initiative marocaine d'accorder une large autonomie aux provinces du Sud.
La célébration de cet anniversaire sera marquée par l'hommage qui sera rendu à un groupe d’anciens résistants ainsi que par la distribution d'aides financière.