La cérémonie a été organisée à l'hôtel Watergate à Washington, en présence de Michael Herzog, ambassadeur d'Israël aux États-Unis, Lalla Joumala Alaoui, ambassadrice du Maroc aux États-Unis et Yael Lambert, secrétaire d'État adjointe par intérim aux Affaires du Proche-Orient.
Désormais alliés dans un contexte régional tendu, le Royaume et le pays hébreu ont renoué leurs relations le 10 décembre 2020 dans le cadre des « Accords d'Abraham », soutenu par l'administration de l'ex-président américain Donald Trump et maintenu par l'administration Biden.
S'exprimant lors de la cérémonie, l'ambassadeur israélien Michael Herzog a déclaré que pour Israël, « il ne s'agit pas simplement d'un autre accord dans une série d'accords israélo-arabes. Ce nouveau chapitre de cette relation spéciale va beaucoup plus loin que les intérêts géopolitiques alignés ».
« Nous avons l'intention de déployer beaucoup d'efforts pour approfondir et étendre la normalisation israélo-arabe et israélo-musulmane », a-t-il poursuivi.
Pour le diplomate, le Maroc et Israël sont des partenaires naturels « dans une région très turbulente » qui comprend deux camps opposés. Le premier cherche le progrès, l'illumination et la stabilité, et l'autre est un camp radical distingué par des idéologies extrémistes et qui veut entraîner la région dans un « passé sombre fondé sur la haine et la violence ».
Qualifiant le Royaume par « la voix de la raison, de la modération et de la réconciliation », le responsable israélien a souligné que le Maroc est un acteur très important et très actif au Moyen-Orient et en Afrique qui œuvre constamment pour la stabilité et la paix de la région.
Pour sa part, l'ambassadrice marocaine Lalla Joumala a indiqué, lors de cet événement, que « cette reprise de relations entre nos deux pays est une évolution naturelle d'une relation déjà riche, multiforme et de longue date marquée par le profond attachement du Royaume à sa communauté juive marocaine ».
« Au cours des derniers mois, nous avons été témoins de nouveaux ponts et voies reliant les gouvernements, les secteurs privés et les peuples du Maroc et d'Israël rapprochant plus que jamais nos deux pays s, a-t-elle ajouté, notant que « les graines de paix plantées au cours de l'année écoulée ont commencé à porter leurs fruits, ce qui a affecté positivement la vie des peuples de la région, et il est difficile de ne pas être optimiste quant à l'avenir face à l'enthousiasme et la belle dynamique générée par l'accord tripartite et les accords d'Abraham depuis l'année 2020 ».
Désormais alliés dans un contexte régional tendu, le Royaume et le pays hébreu ont renoué leurs relations le 10 décembre 2020 dans le cadre des « Accords d'Abraham », soutenu par l'administration de l'ex-président américain Donald Trump et maintenu par l'administration Biden.
S'exprimant lors de la cérémonie, l'ambassadeur israélien Michael Herzog a déclaré que pour Israël, « il ne s'agit pas simplement d'un autre accord dans une série d'accords israélo-arabes. Ce nouveau chapitre de cette relation spéciale va beaucoup plus loin que les intérêts géopolitiques alignés ».
« Nous avons l'intention de déployer beaucoup d'efforts pour approfondir et étendre la normalisation israélo-arabe et israélo-musulmane », a-t-il poursuivi.
Pour le diplomate, le Maroc et Israël sont des partenaires naturels « dans une région très turbulente » qui comprend deux camps opposés. Le premier cherche le progrès, l'illumination et la stabilité, et l'autre est un camp radical distingué par des idéologies extrémistes et qui veut entraîner la région dans un « passé sombre fondé sur la haine et la violence ».
Qualifiant le Royaume par « la voix de la raison, de la modération et de la réconciliation », le responsable israélien a souligné que le Maroc est un acteur très important et très actif au Moyen-Orient et en Afrique qui œuvre constamment pour la stabilité et la paix de la région.
Pour sa part, l'ambassadrice marocaine Lalla Joumala a indiqué, lors de cet événement, que « cette reprise de relations entre nos deux pays est une évolution naturelle d'une relation déjà riche, multiforme et de longue date marquée par le profond attachement du Royaume à sa communauté juive marocaine ».
« Au cours des derniers mois, nous avons été témoins de nouveaux ponts et voies reliant les gouvernements, les secteurs privés et les peuples du Maroc et d'Israël rapprochant plus que jamais nos deux pays s, a-t-elle ajouté, notant que « les graines de paix plantées au cours de l'année écoulée ont commencé à porter leurs fruits, ce qui a affecté positivement la vie des peuples de la région, et il est difficile de ne pas être optimiste quant à l'avenir face à l'enthousiasme et la belle dynamique générée par l'accord tripartite et les accords d'Abraham depuis l'année 2020 ».
