La Commission des crimes économiques et financiers (EFCC) du Nigéria, a demandé à INTERPOL de placer l'ancien gouverneur de l'État de Kogi, Yahaya Bello, sur une liste de surveillance dans trois pays d'Afrique du Nord : Maroc, Tunisie et Algérie.
Selon des sources de l'EFCC, cette initiative repose sur des renseignements crédibles et s'étend également à l'Égypte, à la Libye et au Soudan.
Des sources médiatiques nigérianes révèlent que diverses stratégies étaient envisagées pour faire face à la situation, y compris la possibilité de prendre d'assaut le siège du gouvernement de l'État de Kogi à Lokoja, où Bello se cacherait. Selon elles, la liste de surveillance a été activée en prévision de la comparution attendue de Bello le 17 juillet devant la Haute Cour fédérale d'Abuja.
M. Bello fait face à un réquisitoire si lourd au Nigéria, comprenant 19 chefs d'accusation, notamment de blanchiment d'argent, d'abus de confiance et de détournement de fonds publics pour un montant d'environ 80,2 milliards de nairas soit 52 millions de dollars.
Bien qu'il ait nié ces allégations, il n'a pas comparu à plusieurs reprises devant le juge aux dates prévues en juin.
Une source de l'EFCC a déclaré : "En prévision de la prochaine audience de l'affaire, l'EFCC a activé de nombreuses options, notamment en prenant des mesures concrètes pour surveiller Bello dans les pays nordafricains. Nous sommes au courant d'une sortie ratée vers le Maroc via le Cameroun et nous sommes déterminés à l'empêcher de s'exiler."
Le président exécutif de l'EFCC, Ola Olukoyede, s'est récemment rendu en Tunisie, où il a rencontré les chefs d'INTERPOL pour demander que Bello soit placé en alerte rouge.
Cette demande a été acceptée, et la mise sous surveillance a pris effet immédiatement : " Nous avons pris cette mesure parce que nous soupçonnons Bello d'avoir attendu son heure pour éviter d'être traduit en justice.
Nous attendons de lui qu'il comparaisse devant le tribunal pour prouver son innocence. L'EFCC doit faire son travail pour éviter de créer un mauvais précédent", a ajouté la source.
Selon des sources de l'EFCC, cette initiative repose sur des renseignements crédibles et s'étend également à l'Égypte, à la Libye et au Soudan.
Des sources médiatiques nigérianes révèlent que diverses stratégies étaient envisagées pour faire face à la situation, y compris la possibilité de prendre d'assaut le siège du gouvernement de l'État de Kogi à Lokoja, où Bello se cacherait. Selon elles, la liste de surveillance a été activée en prévision de la comparution attendue de Bello le 17 juillet devant la Haute Cour fédérale d'Abuja.
M. Bello fait face à un réquisitoire si lourd au Nigéria, comprenant 19 chefs d'accusation, notamment de blanchiment d'argent, d'abus de confiance et de détournement de fonds publics pour un montant d'environ 80,2 milliards de nairas soit 52 millions de dollars.
Bien qu'il ait nié ces allégations, il n'a pas comparu à plusieurs reprises devant le juge aux dates prévues en juin.
Une source de l'EFCC a déclaré : "En prévision de la prochaine audience de l'affaire, l'EFCC a activé de nombreuses options, notamment en prenant des mesures concrètes pour surveiller Bello dans les pays nordafricains. Nous sommes au courant d'une sortie ratée vers le Maroc via le Cameroun et nous sommes déterminés à l'empêcher de s'exiler."
Le président exécutif de l'EFCC, Ola Olukoyede, s'est récemment rendu en Tunisie, où il a rencontré les chefs d'INTERPOL pour demander que Bello soit placé en alerte rouge.
Cette demande a été acceptée, et la mise sous surveillance a pris effet immédiatement : " Nous avons pris cette mesure parce que nous soupçonnons Bello d'avoir attendu son heure pour éviter d'être traduit en justice.
Nous attendons de lui qu'il comparaisse devant le tribunal pour prouver son innocence. L'EFCC doit faire son travail pour éviter de créer un mauvais précédent", a ajouté la source.