Le ministère de l'Inclusion économique, de la petite entreprise, de l'emploi et des compétences (MIEPEEC) a été la cible d'une cyberattaque menée par des pirates algériens visant son portail numérique.
Revendiquée par le groupe JabaRoot DZ, cette attaque a été confirmée par un communiqué publié ce lundi, cette attaque serait sans conséquences majeures.
Selon les éléments communiqués par le ministère, l'attaque a ciblé un site internet à vocation avant tout informative. La nature des données qui y sont hébergées – des informations publiques et librement accessibles – exclut, selon l'administration, tout risque de compromission de fichiers à caractère personnel ou de bases de données sensibles. « Toutes les informations publiées sont publiques, librement accessibles, et le site ne contient aucune base de données à caractère professionnel », a ainsi tenu à préciser le MIEPEEC.
Par ailleurs, le MIEPEEC a tenu à se distancer de documents qui circulent actuellement sur la toile et qui seraient fallacieusement attribués à ses services. « Les documents actuellement en circulation ne relèvent pas du champ de compétence du ministère », a-t-il insisté.
Revendiquée par le groupe JabaRoot DZ, cette attaque a été confirmée par un communiqué publié ce lundi, cette attaque serait sans conséquences majeures.
Selon les éléments communiqués par le ministère, l'attaque a ciblé un site internet à vocation avant tout informative. La nature des données qui y sont hébergées – des informations publiques et librement accessibles – exclut, selon l'administration, tout risque de compromission de fichiers à caractère personnel ou de bases de données sensibles. « Toutes les informations publiées sont publiques, librement accessibles, et le site ne contient aucune base de données à caractère professionnel », a ainsi tenu à préciser le MIEPEEC.
Par ailleurs, le MIEPEEC a tenu à se distancer de documents qui circulent actuellement sur la toile et qui seraient fallacieusement attribués à ses services. « Les documents actuellement en circulation ne relèvent pas du champ de compétence du ministère », a-t-il insisté.