En réponse à une question orale du groupe du Mouvement populaire sur "les programmes destinés à soutenir les petits commerçants", lors d’une séance des questions orales, le ministre a souligné que le gouvernement s'efforce de renforcer l'intégration des petits commerçants avec le commerce moderne en réseau, qui compte actuellement 1.000 unités contre 250.000 petits commerçants.
Le petit commerçant "se trouve au cœur des préoccupations du gouvernement en raison de son rôle social majeur, notamment en fournissant des services financiers directs aux citoyens, prêtant en moyenne 840 dirhams à chaque famille marocaine", a-t-il affirmé, précisant qu’environ 30% de ces transactions ne sont pas liées aux produits vendus par le commerçant, mais concernent le paiement de factures ou la fourniture d'argent direct.
Il a, dans ce cadre, fait savoir que son département a mis en œuvre 70% des recommandations du Forum marocain du commerce organisé en 2019, tandis que les 30% restants sont en cours de réalisation.
Le ministre a, en outre, rappelé l'organisation annuelle d'une Journée nationale du commerçant, visant à discuter des réalisations, établir un bilan et présenter les projets futurs en collaboration avec les représentants de ce secteur.
Par ailleurs, en réponse à une question orale du groupe du Rassemblement national des indépendants, le ministre a fait remarquer que les projections d’expansion des réseaux modernes anticipaient une part de marché de 50% dans la distribution, une proportion qui n’a toutefois pas dépassé 20% à ce jour.
Ainsi, le gouvernement collabore avec les petits commerçants afin de diversifier leurs sources de revenus, a-t-il poursuivi, soulignant que la vente de recharges téléphoniques représente 30% de ces revenus.
Le ministre a, par la même occasion, mis en lumière le rôle central du petit commerçant en tant qu’intermédiaire entre le commerce en ligne et le consommateur, soulignant que de nombreux programmes sont en cours de réalisation pour renforcer sa contribution essentielle à la société.
Le petit commerçant "se trouve au cœur des préoccupations du gouvernement en raison de son rôle social majeur, notamment en fournissant des services financiers directs aux citoyens, prêtant en moyenne 840 dirhams à chaque famille marocaine", a-t-il affirmé, précisant qu’environ 30% de ces transactions ne sont pas liées aux produits vendus par le commerçant, mais concernent le paiement de factures ou la fourniture d'argent direct.
Il a, dans ce cadre, fait savoir que son département a mis en œuvre 70% des recommandations du Forum marocain du commerce organisé en 2019, tandis que les 30% restants sont en cours de réalisation.
Le ministre a, en outre, rappelé l'organisation annuelle d'une Journée nationale du commerçant, visant à discuter des réalisations, établir un bilan et présenter les projets futurs en collaboration avec les représentants de ce secteur.
Par ailleurs, en réponse à une question orale du groupe du Rassemblement national des indépendants, le ministre a fait remarquer que les projections d’expansion des réseaux modernes anticipaient une part de marché de 50% dans la distribution, une proportion qui n’a toutefois pas dépassé 20% à ce jour.
Ainsi, le gouvernement collabore avec les petits commerçants afin de diversifier leurs sources de revenus, a-t-il poursuivi, soulignant que la vente de recharges téléphoniques représente 30% de ces revenus.
Le ministre a, par la même occasion, mis en lumière le rôle central du petit commerçant en tant qu’intermédiaire entre le commerce en ligne et le consommateur, soulignant que de nombreux programmes sont en cours de réalisation pour renforcer sa contribution essentielle à la société.
