La récente circulaire, datée du vendredi 12 août 2022, du Chef de gouvernement Aziz Akhannouch, dresse toute une panoplie d’engagements auxquels les associations doivent se soumettre, en application des principes de transparence et de bonne gouvernance. C’est ainsi que les associations qui, jadis, connaissaient meilleure fortune grâce à des financements publics qui leur étaient destinés et que l’Etat leur mettait à disposition à travers les collectivités territoriales ou des institutions, établissements ou entreprises publics, doivent désormais tenir une comptabilité conformément aux règles en vigueur.
Il est dit également dans la circulaire que l’aide ou la donation publique devra être actée et signée entre les associations bénéficiaires et la partie donatrice. Il y sera déterminé la nature de l’activité ou du projet de l’association qui disposera du financement, ainsi que sa conformité avec les objectifs principaux de l’association, comme stipulé dans les statuts. En outre, les associations se doivent à une tenue de la comptabilité et à l’élaboration des comptes annuels relatifs à l’utilisation des aides publiques et à leur soumission à la Cour des Comptes avant la mi-mars de l’exercice qui suit.
Il est dit également dans la circulaire que l’aide ou la donation publique devra être actée et signée entre les associations bénéficiaires et la partie donatrice. Il y sera déterminé la nature de l’activité ou du projet de l’association qui disposera du financement, ainsi que sa conformité avec les objectifs principaux de l’association, comme stipulé dans les statuts. En outre, les associations se doivent à une tenue de la comptabilité et à l’élaboration des comptes annuels relatifs à l’utilisation des aides publiques et à leur soumission à la Cour des Comptes avant la mi-mars de l’exercice qui suit.