Le comité d’organisation de la CAN s’est encore une fois mis au devant de l’actualité mais pas à son avantage. Après la panne des douches, le gazon volant, la qualité du logistique, les intoxications, la grève des interprètes… vendredi, un autre événement anecdotique s’est produit.
Un ‘’ voleur’’ dans la salle de conférence de presse
A quelques minutes du début de la conférence de presse officielle d’avant le match Tunisie-Burkina Faso, un « envahisseur » a surgi dans la salle, a débranché câbles et micros, s’en est emparé devant l’assistance ahurie et incrédule et a pris la fuite. Surpris et depassés, les 2 agents de sécurité présents sur place n’ont rien pu faire. L’envahisseur et le matériel ont disparu …sans laisser de trace!
Une conférence de presse sans sonorisation
Les organisateurs ont dû se débrouiller pour permettre le déroulement de la conférence avec le minimum possible. Le coach burkinabè et le joueur l'accompagnant changeaient de chaise pour répondre devant le seul micro disponible aux questions, comme le rapportent des journalistes présents dans la salle. On devait parler à haute voix pour se faire entendre!
Le voleur était le loueur de la sonorisation
L’envahisseur importun était en fait le ‘’patron’’ d’une petite entreprise de location de matériel de sonorisation. Il avait un contrat avec le comité :il devait mettre son matériel à la disposition des organisateurs lors des conférences de presse d’avant et d’après les matchs. Mais il n’a rien touché en contrepartie. Ses réclamations répétées sont restées vaines. Furieux, revanchard et malin, il a décidé de récupérer ce qui lui appartient au bon moment, juste avant la conférence de presse! Il a réussi son coup médiatique mais il n'est pas pour autant assuré de toucher son dû!
Un ‘’ voleur’’ dans la salle de conférence de presse
A quelques minutes du début de la conférence de presse officielle d’avant le match Tunisie-Burkina Faso, un « envahisseur » a surgi dans la salle, a débranché câbles et micros, s’en est emparé devant l’assistance ahurie et incrédule et a pris la fuite. Surpris et depassés, les 2 agents de sécurité présents sur place n’ont rien pu faire. L’envahisseur et le matériel ont disparu …sans laisser de trace!
Une conférence de presse sans sonorisation
Les organisateurs ont dû se débrouiller pour permettre le déroulement de la conférence avec le minimum possible. Le coach burkinabè et le joueur l'accompagnant changeaient de chaise pour répondre devant le seul micro disponible aux questions, comme le rapportent des journalistes présents dans la salle. On devait parler à haute voix pour se faire entendre!
Le voleur était le loueur de la sonorisation
L’envahisseur importun était en fait le ‘’patron’’ d’une petite entreprise de location de matériel de sonorisation. Il avait un contrat avec le comité :il devait mettre son matériel à la disposition des organisateurs lors des conférences de presse d’avant et d’après les matchs. Mais il n’a rien touché en contrepartie. Ses réclamations répétées sont restées vaines. Furieux, revanchard et malin, il a décidé de récupérer ce qui lui appartient au bon moment, juste avant la conférence de presse! Il a réussi son coup médiatique mais il n'est pas pour autant assuré de toucher son dû!