Le navire a été touché par "deux projectiles non identifiés avant d'être atteint par un troisième", à l'ouest du port de Hodeida, dans l'ouest du Yémen, a affirmé l'UKMTO, ajoutant que l'attaque n'avait pas fait de victimes.
"Il y a un incendie à bord et le navire a perdu sa force de propulsion", ce qui le rend impossible à manœuvrer, a-t-elle précisé.
Selon un communiqué du ministère grec de la Marine marchande, il s'agit du pétrolier "Sounion", battant pavillon grec et qui compte à son bord "25 membres d'équipage, deux Russes et 23 Philippins, tous en bonne santé".
Le navire appartient à la société Delta Tankers qui dispose de locaux à Athènes, a précisé un porte-parole de la police portuaire grecque.
Le pétrolier venait d'Irak et avait pour destination Agïi Theodori, un port proche d'Athènes où sont basées des raffineries, selon le ministère grec qui a précisé que le navire a subi des dégâts matériels et reste pour l'instant dans le secteur, sans plus de détail sur sa capacité de navigation.
L'attaque n'a pas été revendiquée dans l'immédiat, mais la zone est le théâtre depuis des mois d'attaques des rebelles yéménites houthis, qui s'en prennent aux navires qu'ils estiment liés à Israël, disant agir en solidarité avec les Palestiniens de la bande de Gaza, plongée dans une guerre meurtrière entre Israël et le Hamas depuis plus de dix mois.
Le ministre grec de la Marine marchande, Christos Stylianides, a condamné l'attaque, la qualifiant "de violation flagrante du droit international" et de "grave menace pour la sécurité de la navigation internationale".
Cité dans un communiqué, il a souligné que "de tels actes mettent en danger la vie des marins et perturbent la libre circulation des marchandises dans les couloirs maritimes essentiels". Il a précisé que son ministère est "en communication constante avec tous les organismes concernés".
"Il y a un incendie à bord et le navire a perdu sa force de propulsion", ce qui le rend impossible à manœuvrer, a-t-elle précisé.
Selon un communiqué du ministère grec de la Marine marchande, il s'agit du pétrolier "Sounion", battant pavillon grec et qui compte à son bord "25 membres d'équipage, deux Russes et 23 Philippins, tous en bonne santé".
Le navire appartient à la société Delta Tankers qui dispose de locaux à Athènes, a précisé un porte-parole de la police portuaire grecque.
Le pétrolier venait d'Irak et avait pour destination Agïi Theodori, un port proche d'Athènes où sont basées des raffineries, selon le ministère grec qui a précisé que le navire a subi des dégâts matériels et reste pour l'instant dans le secteur, sans plus de détail sur sa capacité de navigation.
L'attaque n'a pas été revendiquée dans l'immédiat, mais la zone est le théâtre depuis des mois d'attaques des rebelles yéménites houthis, qui s'en prennent aux navires qu'ils estiment liés à Israël, disant agir en solidarité avec les Palestiniens de la bande de Gaza, plongée dans une guerre meurtrière entre Israël et le Hamas depuis plus de dix mois.
Le ministre grec de la Marine marchande, Christos Stylianides, a condamné l'attaque, la qualifiant "de violation flagrante du droit international" et de "grave menace pour la sécurité de la navigation internationale".
Cité dans un communiqué, il a souligné que "de tels actes mettent en danger la vie des marins et perturbent la libre circulation des marchandises dans les couloirs maritimes essentiels". Il a précisé que son ministère est "en communication constante avec tous les organismes concernés".
Trois autres explosions
Les armateurs grecs possèdent la première flotte du monde en termes de capacité de transport, et leurs navires, comme ceux d'autres pays, ont été la cible de plusieurs attaques dans la région.
Le "Sounion" avait été approché plus tôt par deux embarcations, la première transportant trois à cinq personnes et la seconde environ une dizaine.
"Les deux petites embarcations ont hélé le navire marchand, ce qui a donné lieu à un bref échange de tirs d'armes légères", selon UKMTO.
Un autre navire a signalé mercredi trois explosions près de sa position au large de la ville portuaire d'Aden (sud-ouest), d'après l'UKMTO, qui a précisé que l'équipage était sain et sauf et que le bateau se dirigeait vers son prochain port d'escale.
Cette attaque n'a pas non plus été revendiquée dans l'immédiat.
Les attaques des Houthis ont perturbé le trafic au large du Yémen, zone maritime essentielle pour le commerce mondial, poussant les Etats-Unis à mettre en place une coalition maritime internationale et à frapper des cibles au Yémen, parfois avec l'aide du Royaume-Uni.