Ces 925 ONG de défenses des droits de l’homme, agissent de manière indépendante et autonome, dans la mise en place de tout mécanisme visant à prévenir les violations des droits fondamentaux et libertés individuelles, et y faire face. Et ce, grâce à une interaction positive avec leurs responsables nationaux, locaux et régionaux et leur volonté sincère de promouvoir et de protéger les droits de l’homme, précisent lesdites associations.
Dans ce contexte, elles rejettent les fausses allégations du Polisario et son parrain algérien, sur la question de la situation des droits de l’homme, qui n'y voient qu'un outil de propagande et de pression pour promouvoir leur projet séparatiste. Les ONG notent que paradoxalement, les détracteurs du Maroc s’abstiennent de fournir les moindres données, en termes du respect de la dignité humaine, dans les camps de Tindouf
Ces organisations regrettent que les autres parties au conflit, ne font que multiplier les tensions en manipulant certains jeunes à confronter les forces de sécurité, afin de les utiliser dans de sordides campagnes médiatiques, dénonçant le non-respect de la liberté d’expression et de circulation.
Rappelons que le CDH a épinglé, en juillet 2018, l’Algérie pour sa responsabilité et complicité à l'égard des répressions et des crimes commis dans les camps de Tindouf.
Selon les ONG, les camps reflètent une situation anormale, du fait que des milliers de personnes sont isolées, et que les milices armées commettent des violations des droits de l’homme à l’encontre d'une population "vulnérable et coincée dans un no man’s land".
Dans ce contexte, elles rejettent les fausses allégations du Polisario et son parrain algérien, sur la question de la situation des droits de l’homme, qui n'y voient qu'un outil de propagande et de pression pour promouvoir leur projet séparatiste. Les ONG notent que paradoxalement, les détracteurs du Maroc s’abstiennent de fournir les moindres données, en termes du respect de la dignité humaine, dans les camps de Tindouf
Ces organisations regrettent que les autres parties au conflit, ne font que multiplier les tensions en manipulant certains jeunes à confronter les forces de sécurité, afin de les utiliser dans de sordides campagnes médiatiques, dénonçant le non-respect de la liberté d’expression et de circulation.
Rappelons que le CDH a épinglé, en juillet 2018, l’Algérie pour sa responsabilité et complicité à l'égard des répressions et des crimes commis dans les camps de Tindouf.
Selon les ONG, les camps reflètent une situation anormale, du fait que des milliers de personnes sont isolées, et que les milices armées commettent des violations des droits de l’homme à l’encontre d'une population "vulnérable et coincée dans un no man’s land".