En réponse à une question centrale autour des “mesures entreprises pour remédier à la pénurie d’eau”, posée par les groupes de la majorité et de l’opposition à la Chambre des conseillers, M. Amara a affirmé que les démarches et les étapes procédurales ont été entamées pour la réalisation du projet de dessalement de l’eau de mer de la ville de Casablanca, pour une capacité de traitement d’environ 300 millions m3 d’eau, notant que cette station se veut la plus grande au niveau du continent, pour une enveloppe budgétaire moyennant 10 MMDH.
Il a, par ailleurs, expliqué que le projet de dessalement de l’eau de mer de la province de Chtouka Ait Baha a été parachevé, outre le renforcement du débit d’une série de stations de dessalement dans les provinces du Sud du Royaume.
Il a, d’autre part, précisé que la saison 2019-2020 a connu un manque de pluies de manière inquiétante, puisque le taux des précipitations varient entre environ -5% dans le bassin hydraulique du Loukkos, -67% dans le bassin de Sous-Massa, -50% dans le bassin du Bouregreg et de la Chaouia et 47% dans le bassin de l’Oum Errabiâ. “Quant aux importations d’eau, le volume total a atteint 4,3 milliards de m3, soit un déficit de 64%”, a-t-il dit.
Le gouvernement dispose d’une vision claire pour dépasser cette problématique liée au déficit d’eau, a fait savoir le ministre, notant que cette vision est basée sur le Programme national d’approvisionnement en eau potable et d’irrigation pour la période 2020-2027, pour un coût total de 115,4 MMDH, et sur le Plan stratégique de l’eau (PNE) 2020-2050, pour une enveloppe budgétaire de plus de 380 MMDH.
Avec Map
Il a, par ailleurs, expliqué que le projet de dessalement de l’eau de mer de la province de Chtouka Ait Baha a été parachevé, outre le renforcement du débit d’une série de stations de dessalement dans les provinces du Sud du Royaume.
Il a, d’autre part, précisé que la saison 2019-2020 a connu un manque de pluies de manière inquiétante, puisque le taux des précipitations varient entre environ -5% dans le bassin hydraulique du Loukkos, -67% dans le bassin de Sous-Massa, -50% dans le bassin du Bouregreg et de la Chaouia et 47% dans le bassin de l’Oum Errabiâ. “Quant aux importations d’eau, le volume total a atteint 4,3 milliards de m3, soit un déficit de 64%”, a-t-il dit.
Le gouvernement dispose d’une vision claire pour dépasser cette problématique liée au déficit d’eau, a fait savoir le ministre, notant que cette vision est basée sur le Programme national d’approvisionnement en eau potable et d’irrigation pour la période 2020-2027, pour un coût total de 115,4 MMDH, et sur le Plan stratégique de l’eau (PNE) 2020-2050, pour une enveloppe budgétaire de plus de 380 MMDH.
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