La lutte contre le dopage en sport a été un souci de quelques pionniers notamment des médecins du sport depuis presque trois décennies. Mais ce n’est qu’après la ratification par le Maroc de la Convention de l’UNESCO en avril 2009 que le mouvement ait pris une autre tournure. En effet, depuis cette date, l’engagement du Royaume du Maroc a été manifeste via l’organigramme du ministère de la Jeunesse et des Sports et du Comité National Olympique Marocain. Par la suite, le Royaume du Maroc a renforcé sa législature en matière de lutte contre le dopage en sport en promulguant la Loi 97.12 le 30 août 2017.
Cette Loi a été complétée par la Loi 06.23 afin de répondre aux nouvelles recommandations de l’Agence Mondiale Antidopage (AMA), notamment celles liées à la nécessité d’harmoniser les dispositions de la Loi en vigueur avec le Code mondial antidopage et de renforcer les organes de l’Agence Marocaine Anti-Dopage (AMAD). Cette structure indépendante, qui a vu le jour en 2021, a entamé sa lutte sur le sol marocain par des opérations en conformité avec les standards internationaux. La sensibilisation des différents acteurs (sportifs, encadreurs, médecins, parents…) a été complétée par une Caravane nationale qui sillonne les 12 régions du Royaume du Maroc depuis juin 2023 jusqu’au mois d’avril 2024. Nécessité de ratisser large Néanmoins, ces campagnes doivent être complétées par d’autres approches, car, ils ne restent que quelques mois et les yeux du monde entier seront braqués vers Paris, la capitale de la France, où se dérouleront les Jeux Olympiques et Paralympiques 2024.
Au Maroc, plusieurs disciplines sont qualifiées et des dizaines de sportifs vont se déplacer avec l’ambition de décrocher une médaille ou de réaliser une performance sportive. Mais, en filigrane de ces ambitions il y a, également, le drapeau national qu’il faut hisser et l’honneur national qu’il faut défendre. Et éviter le scandale comme en 2012 et 2016, lors des Jeux Olympiques, où plusieurs sportifs ont été tentés par des substances dopantes afin d’arriver à leurs fins. D’où la nécessité pour l’AMAD de compléter sa stratégie par des rencontres et des tests avec tous les sportifs qui iront à Paris, surtout que la nouvelle architecture juridique dessinée par la Loi 06.23 va lui faciliter la tâche
Cette Loi a été complétée par la Loi 06.23 afin de répondre aux nouvelles recommandations de l’Agence Mondiale Antidopage (AMA), notamment celles liées à la nécessité d’harmoniser les dispositions de la Loi en vigueur avec le Code mondial antidopage et de renforcer les organes de l’Agence Marocaine Anti-Dopage (AMAD). Cette structure indépendante, qui a vu le jour en 2021, a entamé sa lutte sur le sol marocain par des opérations en conformité avec les standards internationaux. La sensibilisation des différents acteurs (sportifs, encadreurs, médecins, parents…) a été complétée par une Caravane nationale qui sillonne les 12 régions du Royaume du Maroc depuis juin 2023 jusqu’au mois d’avril 2024. Nécessité de ratisser large Néanmoins, ces campagnes doivent être complétées par d’autres approches, car, ils ne restent que quelques mois et les yeux du monde entier seront braqués vers Paris, la capitale de la France, où se dérouleront les Jeux Olympiques et Paralympiques 2024.
Au Maroc, plusieurs disciplines sont qualifiées et des dizaines de sportifs vont se déplacer avec l’ambition de décrocher une médaille ou de réaliser une performance sportive. Mais, en filigrane de ces ambitions il y a, également, le drapeau national qu’il faut hisser et l’honneur national qu’il faut défendre. Et éviter le scandale comme en 2012 et 2016, lors des Jeux Olympiques, où plusieurs sportifs ont été tentés par des substances dopantes afin d’arriver à leurs fins. D’où la nécessité pour l’AMAD de compléter sa stratégie par des rencontres et des tests avec tous les sportifs qui iront à Paris, surtout que la nouvelle architecture juridique dessinée par la Loi 06.23 va lui faciliter la tâche