Mercredi à Rabat, le chef du gouvernement a reçu les leaders des principaux partis politiques marocains, parmi lesquels Nizar Baraka, Secrétaire Général du Parti de l’Istiqlal. Ordre du jour de cette réunion annoncée sur nos colonnes : la discussion des modalités de réforme du système électoral marocain en prévision de l’année 2020 qui s’annonce chargée en scrutins de toutes sortes.
Lors de leur rencontre avec El Othmani qui a présidé cette rencontre en présence de plu-sieurs membres du gouverne-ment dont Abdelouafi Laftit, ministre de l’Intérieur, El Mostapha Ramid, ministre d’Etat chargé des Droits de l’Homme et des relations avec le Parlement, et Mohamed Ben Abdelkader, ministre de la Justice, les responsables des partis politiques marocains ont manifesté leur volonté commune «de boucler les lois électorales avant fin juillet avec l’objectif de renforcer la participation des citoyens, de renouveler les élites politiques et d’améliorer l’efficacité des instances élues pour réhabiliter le champ politique dans notre pays ».
De ce fait, la réunion a surtout porté sur la méthodologie et sur l’agenda des réformes à introduire sur le système électoral. Il a ainsi été convenu que des consultations soient menées à court et moyen termes par le ministre de l’Intérieur avec les diverses formations politiques. L’agenda de ces pourparlers inclut des discussions à propos du code électoral, des listes électorales, du découpage territorial, du financement des partis, de la communication et de la loi sur les partis politiques.
Pour rappel, la rencontre de mercredi vient en réponse à la requête adressée début février par le Parti de l’Istiqlal au chef du gouvernement, le pressant de mettre en oeuvre le chantier de réforme du cadre légal des élections dans notre pays. Entre autres points soulevés dans la correspondance de l’Istiqlal, le Parti avait mis l’accent sur la nécessaire mise à jour des règlements électoraux et des modes de scrutin, ainsi que sur le seuil électoral et la représentation des femmes et des jeunes.
Autant de mesures importantes réclamées en vue de réhabiliter le champ politique national tout en évitant au pays des épisodes navrants comme celui du blocage survenu en 2016. D’autant plus que l’année 2021 qui se profile, s’annonce comme une année marathon au vu du nombre important de scrutins qui y seront organisés. C’est ainsi qu’en plus des élections législatives (Chambres des Représentants et des Conseillers) et communales, viendront s’ajouter celles relatives aux Chambres des régions, des provinces et des préfectures dont les mandats respectifs arrivent à échéance en 2021.
Lors de leur rencontre avec El Othmani qui a présidé cette rencontre en présence de plu-sieurs membres du gouverne-ment dont Abdelouafi Laftit, ministre de l’Intérieur, El Mostapha Ramid, ministre d’Etat chargé des Droits de l’Homme et des relations avec le Parlement, et Mohamed Ben Abdelkader, ministre de la Justice, les responsables des partis politiques marocains ont manifesté leur volonté commune «de boucler les lois électorales avant fin juillet avec l’objectif de renforcer la participation des citoyens, de renouveler les élites politiques et d’améliorer l’efficacité des instances élues pour réhabiliter le champ politique dans notre pays ».
De ce fait, la réunion a surtout porté sur la méthodologie et sur l’agenda des réformes à introduire sur le système électoral. Il a ainsi été convenu que des consultations soient menées à court et moyen termes par le ministre de l’Intérieur avec les diverses formations politiques. L’agenda de ces pourparlers inclut des discussions à propos du code électoral, des listes électorales, du découpage territorial, du financement des partis, de la communication et de la loi sur les partis politiques.
Pour rappel, la rencontre de mercredi vient en réponse à la requête adressée début février par le Parti de l’Istiqlal au chef du gouvernement, le pressant de mettre en oeuvre le chantier de réforme du cadre légal des élections dans notre pays. Entre autres points soulevés dans la correspondance de l’Istiqlal, le Parti avait mis l’accent sur la nécessaire mise à jour des règlements électoraux et des modes de scrutin, ainsi que sur le seuil électoral et la représentation des femmes et des jeunes.
Autant de mesures importantes réclamées en vue de réhabiliter le champ politique national tout en évitant au pays des épisodes navrants comme celui du blocage survenu en 2016. D’autant plus que l’année 2021 qui se profile, s’annonce comme une année marathon au vu du nombre important de scrutins qui y seront organisés. C’est ainsi qu’en plus des élections législatives (Chambres des Représentants et des Conseillers) et communales, viendront s’ajouter celles relatives aux Chambres des régions, des provinces et des préfectures dont les mandats respectifs arrivent à échéance en 2021.
M. E.