Dans un communiqué récent, la Fédération nationale des propriétaires de cafés et restaurants a annoncé la tenue d'une réunion d’urgence pour répondre à la dernière sortie du Conseil de Rahhou, annonçant l’ouverture d’une enquête en cas de preuve de concertation afin d'augmenter les prix des poissons servis.
La fédération a protesté vigoureusement contre la sortie du Conseil de la Concurrence. Une sortie qu'elle qualifie de “maladroite” et d'“irresponsable” après une longue période de silence, disent-elle.
Les professionnels ont, par ailleurs, exprimé étonnement face à la réaction du Conseil de la Concurrence au moment où ils attendaient que celui-ci agisse pour mettre un terme à la confusion régnant sur le marché.
Ils soulignent dans ce sens que le prix du café en grains a augmenté de 35 %. Pis encore, une seule société monopolise 99 % du marché au vu et au su du Conseil de la concurrence qui devait analyser et réguler la situation de la concurrence sur le marché au lieu de se tourner vers le dernier et le plus faible maillon de la chaîne, selon leurs dires.
Les professionnels estiment que les propos du Conseil reflètent une vision biaisée qu’ils espèrent passagère. Ils déclarent être pleinement conscients des dispositions de la loi 104-12 sur la liberté des prix et de la concurrence, les pratiques anticoncurrentielles ainsi que les accords et alliances visant à entraver cette concurrence.
Face à cette situation, la fédération a indiqué avoir sensibilisé les professionnels à ce sujet. Dans le même sillage, la Fédération a dénoncé le mutisme « douteux» du Conseil à propos de la hausse fulgurante des prix des carburants qui a entraîné une flambée des prix de toutes les matières premières jusqu’à pratiquement 300 %.
Elle rappelle que l’inflation a causé la faillite d’un nombre non-négligeable d’unités, dénonçant l'inaction de l’institution face à la prolifération des restaurants et des cafés ambulants, mais aussi face impôts « exceptionnels » qui obèrent les professionnels, entraînant l’effondrement d’un large pan du secteur.
À ce titre, la Fédération a invité le Conseil à assumer pleinement ses responsabilités et à s'orienter vers les parties qui ont créé cette situation de crise et à mettre fin à la vision ascendante du secteur qui constitue un pilier important du tissu économique pourvoyeur d’emplois, mais aussi un véritable écosystème dynamisant l’ensemble de l’économie nationale.
Pour rappe, le Conseil de la concurrence a annoncé que les investigations préliminaires menées par ses services compétents ont permis de relever des éléments selon lesquels certains propriétaires et gérants de cafés, étudient une éventuelle augmentation des prix des boissons servies dans les cafés, soulignant que si ces faits sont avérés, une enquête sera ouverte à ce sujet.
La fédération a protesté vigoureusement contre la sortie du Conseil de la Concurrence. Une sortie qu'elle qualifie de “maladroite” et d'“irresponsable” après une longue période de silence, disent-elle.
Les professionnels ont, par ailleurs, exprimé étonnement face à la réaction du Conseil de la Concurrence au moment où ils attendaient que celui-ci agisse pour mettre un terme à la confusion régnant sur le marché.
Ils soulignent dans ce sens que le prix du café en grains a augmenté de 35 %. Pis encore, une seule société monopolise 99 % du marché au vu et au su du Conseil de la concurrence qui devait analyser et réguler la situation de la concurrence sur le marché au lieu de se tourner vers le dernier et le plus faible maillon de la chaîne, selon leurs dires.
Les professionnels estiment que les propos du Conseil reflètent une vision biaisée qu’ils espèrent passagère. Ils déclarent être pleinement conscients des dispositions de la loi 104-12 sur la liberté des prix et de la concurrence, les pratiques anticoncurrentielles ainsi que les accords et alliances visant à entraver cette concurrence.
Face à cette situation, la fédération a indiqué avoir sensibilisé les professionnels à ce sujet. Dans le même sillage, la Fédération a dénoncé le mutisme « douteux» du Conseil à propos de la hausse fulgurante des prix des carburants qui a entraîné une flambée des prix de toutes les matières premières jusqu’à pratiquement 300 %.
Elle rappelle que l’inflation a causé la faillite d’un nombre non-négligeable d’unités, dénonçant l'inaction de l’institution face à la prolifération des restaurants et des cafés ambulants, mais aussi face impôts « exceptionnels » qui obèrent les professionnels, entraînant l’effondrement d’un large pan du secteur.
À ce titre, la Fédération a invité le Conseil à assumer pleinement ses responsabilités et à s'orienter vers les parties qui ont créé cette situation de crise et à mettre fin à la vision ascendante du secteur qui constitue un pilier important du tissu économique pourvoyeur d’emplois, mais aussi un véritable écosystème dynamisant l’ensemble de l’économie nationale.
Pour rappe, le Conseil de la concurrence a annoncé que les investigations préliminaires menées par ses services compétents ont permis de relever des éléments selon lesquels certains propriétaires et gérants de cafés, étudient une éventuelle augmentation des prix des boissons servies dans les cafés, soulignant que si ces faits sont avérés, une enquête sera ouverte à ce sujet.