Les nouvelles mesures restrictives mises en place par le gouvernement, début août courant, pénalisent un secteur déjà fragilisé par des mois de fermeture administrative.
« C'est une catastrophe humanitaire », déplorent des propriétaires de salles de sport, mobilisés ce matin devant le Parlement à Rabat.
La décision de l'Exécutif d’instaurer un couvre-feu nocturne au niveau national depuis le 3 août courant concerne les hammams, les salles de sport et les piscines couvertes, tandis que les cafés et restaurants ne fermeront qu'à 21H.
Une décision qui pousse les propriétaires des salles de sport à exiger des preuves et des faits avérés et non des supputations et des suppositions qu’on présente au public comme des vérités.
« Les mesures barrière ne sont pas respectées dans les cafés, les restaurants, où la capacité d'accueil dépasse 300%. Nous demandons à ce que des études scientifiques soient menées pour prouver que les salles de sport sont des foyers de contamination », exige l'un des manifestants.
Pour le bien de tous, les 5000 associations sportives ne sont toutefois pas contre la fermeture des salles de sport, mais demandent d'être dédommagées.
« Les propriétaires des salles de sport sont contraints de payer chaque mois les entraîneurs, leurs loyers, l'eau et l'électricité, la maintenance de leurs machines, ainsi que leurs crédits bancaires qui sont de 120 millions de centimes pour certains propriétaires, qui ont ouvert leurs salles de sport récemment », déplore-t-il.
« C'est une catastrophe humanitaire », déplorent des propriétaires de salles de sport, mobilisés ce matin devant le Parlement à Rabat.
La décision de l'Exécutif d’instaurer un couvre-feu nocturne au niveau national depuis le 3 août courant concerne les hammams, les salles de sport et les piscines couvertes, tandis que les cafés et restaurants ne fermeront qu'à 21H.
Une décision qui pousse les propriétaires des salles de sport à exiger des preuves et des faits avérés et non des supputations et des suppositions qu’on présente au public comme des vérités.
« Les mesures barrière ne sont pas respectées dans les cafés, les restaurants, où la capacité d'accueil dépasse 300%. Nous demandons à ce que des études scientifiques soient menées pour prouver que les salles de sport sont des foyers de contamination », exige l'un des manifestants.
Pour le bien de tous, les 5000 associations sportives ne sont toutefois pas contre la fermeture des salles de sport, mais demandent d'être dédommagées.
« Les propriétaires des salles de sport sont contraints de payer chaque mois les entraîneurs, leurs loyers, l'eau et l'électricité, la maintenance de leurs machines, ainsi que leurs crédits bancaires qui sont de 120 millions de centimes pour certains propriétaires, qui ont ouvert leurs salles de sport récemment », déplore-t-il.