Le monde change et transforme avec lui les besoins des entreprises en quête d’embauche de nouveaux profils. Dans ce sillage, les responsables remarquent qu’il est primordial de nos jours de s’adapter à cette vague de changement et de développer les compétences des étudiants en permanence.
L’importance de l’incorporation des soft skills dans les programmes universitaires a été d’ailleurs mise en lumière dans un article de la Revue d’études africaines et du bassin du Nil, relevant du Centre Démocratique Arabe, sous l’intitulé : « Pourquoi l’enseignement supérieur marocain mise-t-il sur les soft skills ? ».
L’étude met aussi en évidence les initiatives entreprises par le secteur de l’enseignement supérieur au Maroc pour promouvoir cette approche.
Le mot “soft skills” provient de l’anglais et signifie littéralement “compétences douces” ; il est de plus en plus utilisé dans le monde du travail et représente les caractéristiques et compétences humaines et non techniques (non mesurables ou testables) d’un employé. Ce sont des qualités personnelles (et assimilées) qui aident la personne à être plus performante dans l’entreprise.
Comme rapporté par l’auteur de la recherche, Zerouali Sanae, les soft skills ou compétences non techniques, telles que la communication efficace, le leadership, la résolution de problèmes et la pensée critique, sont désormais considérées comme des éléments essentiels pour la réussite des étudiants sur le marché du travail.
La chercheuse explique dans ce sens que dans le cadre de la nouvelle réforme, des mesures ont été prises pour accorder une plus grande importance aux langues étrangères et intégrer un enseignement dédié aux compétences relationnelles et comportementales tout au long du cursus universitaire.
Selon elle, le nouveau système éducatif met de plus en plus l’accent sur les soft skills, notant que les universités marocaines ont pris conscience de l’importance de ces compétences dans l’employabilité des diplômés ; et en les enseignant, elles améliorent les perspectives d’emploi des étudiants et leur réussite professionnelle.
Les universités marocaines ont ainsi adopté des méthodes d’enseignement novatrices concernant les soft skills, favorisant l’apprentissage actif et concret. Les projets collaboratifs, simulations, études de cas et stages sont d’un grand apport pour permettre aux étudiants de développer leurs compétences non techniques. Ces approches dynamiques favorisent ainsi un apprentissage holistique et une application pratique des soft skills, renforçant leur employabilité.
L’importance de l’incorporation des soft skills dans les programmes universitaires a été d’ailleurs mise en lumière dans un article de la Revue d’études africaines et du bassin du Nil, relevant du Centre Démocratique Arabe, sous l’intitulé : « Pourquoi l’enseignement supérieur marocain mise-t-il sur les soft skills ? ».
L’étude met aussi en évidence les initiatives entreprises par le secteur de l’enseignement supérieur au Maroc pour promouvoir cette approche.
Le mot “soft skills” provient de l’anglais et signifie littéralement “compétences douces” ; il est de plus en plus utilisé dans le monde du travail et représente les caractéristiques et compétences humaines et non techniques (non mesurables ou testables) d’un employé. Ce sont des qualités personnelles (et assimilées) qui aident la personne à être plus performante dans l’entreprise.
Comme rapporté par l’auteur de la recherche, Zerouali Sanae, les soft skills ou compétences non techniques, telles que la communication efficace, le leadership, la résolution de problèmes et la pensée critique, sont désormais considérées comme des éléments essentiels pour la réussite des étudiants sur le marché du travail.
La chercheuse explique dans ce sens que dans le cadre de la nouvelle réforme, des mesures ont été prises pour accorder une plus grande importance aux langues étrangères et intégrer un enseignement dédié aux compétences relationnelles et comportementales tout au long du cursus universitaire.
Selon elle, le nouveau système éducatif met de plus en plus l’accent sur les soft skills, notant que les universités marocaines ont pris conscience de l’importance de ces compétences dans l’employabilité des diplômés ; et en les enseignant, elles améliorent les perspectives d’emploi des étudiants et leur réussite professionnelle.
Les universités marocaines ont ainsi adopté des méthodes d’enseignement novatrices concernant les soft skills, favorisant l’apprentissage actif et concret. Les projets collaboratifs, simulations, études de cas et stages sont d’un grand apport pour permettre aux étudiants de développer leurs compétences non techniques. Ces approches dynamiques favorisent ainsi un apprentissage holistique et une application pratique des soft skills, renforçant leur employabilité.
