Le romancier et chercheur Habib Daim Rabbivient de publier un «Livre- guide» sur la ville de Sidi Bennour et sa région. Ce document d’une centaine de pages, écrit en langue arabe avec une introduction en français, est le premier livre sur la ville de Sidi Bennour. C’est un guide pratique plein de données et de renseignements, et un livre de recherche historique et socio-ethnique.
Cet ouvrage, relève M’barek Bidaki, analyste et critique d’art, prend la ville de Sidi Bennour et ses environs pour objet d’étude et fait de l’homme et de son cadre de vie son point de départ et son aboutissement. Bien que limité en pages, cette entreprise n’a pas été de tout repos car il s’agit d’un travail sorti du néant où l’auteur a collecté un maximum de données sur la ville du moment qu’il n’existait pas auparavant d’ouvrages similaires sur cette région. Le travail a été réalisé malgré maints obstacles qui se sont dressés devant le chercheur, notamment l’absence d’archives, l’éparpillement des quelques informations sur la cité et ses gens et le peu d’enthousiasme affiché par quelques détenteurs de documents qui n’acceptent pas le partage, a t-il mentionné.
Membre de l’Union des Ecrivains du Maroc, le nouvelliste Habib Daim Rabbi, détenteur d’un doctorat es-Lettres en langue arabe de l’université Mohammed V, compte à son actif plusieurs études et recherches sur la littérature, la bibliographie, la critique littéraire et la pédagogie, mais ce livre a une spécificité, c’est qu’il se focalise sur l’entourage immédiat de l’écrivain lui-même natif et originaire de la province de Sidi Bennour. Ce livre est en quelque sorte sa contribution pour enrichir la connaissance scientifique de son milieu et de celui de ses concitoyens, souligne M’Barek Bidaki. Habib Daim Rabbi travaille sur la mémoire de la cité de Sidi Bennour depuis plusieurs années. Chaque fois, il choisit une forme pour en parler : roman, nouvelle, étude ou livre-guide comme dans le cas du présent ouvrage. Ici, l’imagination n’a pas de place car il s’agit d’écrits se fondant sur des documents, des témoignages ou les visites de terrain. C’est d’ailleurs de là que vient la difficulté quand il s’agit d’écrire sur l’environnement immédiat. En témoignent Brahim Kridia et son travail sur Safi, Ahmed Laâyouni sur celle de Mzab, Mustapha Jmahri sur El-Jadida, Omar Lakhdar sur Essaouira, Abdelbasset Lakrari sur Settat, et le docteur Mohammed Mouhib sur Midelt.
Les efforts déployés par ces soldats de la mémoire rendent service à la Nation en sauvant un pan de notre Histoire locale et de la vie passée dans les différentes contrées du pays, peut-on conclure avec M’Barek Bidaki.
Cet ouvrage, relève M’barek Bidaki, analyste et critique d’art, prend la ville de Sidi Bennour et ses environs pour objet d’étude et fait de l’homme et de son cadre de vie son point de départ et son aboutissement. Bien que limité en pages, cette entreprise n’a pas été de tout repos car il s’agit d’un travail sorti du néant où l’auteur a collecté un maximum de données sur la ville du moment qu’il n’existait pas auparavant d’ouvrages similaires sur cette région. Le travail a été réalisé malgré maints obstacles qui se sont dressés devant le chercheur, notamment l’absence d’archives, l’éparpillement des quelques informations sur la cité et ses gens et le peu d’enthousiasme affiché par quelques détenteurs de documents qui n’acceptent pas le partage, a t-il mentionné.
Membre de l’Union des Ecrivains du Maroc, le nouvelliste Habib Daim Rabbi, détenteur d’un doctorat es-Lettres en langue arabe de l’université Mohammed V, compte à son actif plusieurs études et recherches sur la littérature, la bibliographie, la critique littéraire et la pédagogie, mais ce livre a une spécificité, c’est qu’il se focalise sur l’entourage immédiat de l’écrivain lui-même natif et originaire de la province de Sidi Bennour. Ce livre est en quelque sorte sa contribution pour enrichir la connaissance scientifique de son milieu et de celui de ses concitoyens, souligne M’Barek Bidaki. Habib Daim Rabbi travaille sur la mémoire de la cité de Sidi Bennour depuis plusieurs années. Chaque fois, il choisit une forme pour en parler : roman, nouvelle, étude ou livre-guide comme dans le cas du présent ouvrage. Ici, l’imagination n’a pas de place car il s’agit d’écrits se fondant sur des documents, des témoignages ou les visites de terrain. C’est d’ailleurs de là que vient la difficulté quand il s’agit d’écrire sur l’environnement immédiat. En témoignent Brahim Kridia et son travail sur Safi, Ahmed Laâyouni sur celle de Mzab, Mustapha Jmahri sur El-Jadida, Omar Lakhdar sur Essaouira, Abdelbasset Lakrari sur Settat, et le docteur Mohammed Mouhib sur Midelt.
Les efforts déployés par ces soldats de la mémoire rendent service à la Nation en sauvant un pan de notre Histoire locale et de la vie passée dans les différentes contrées du pays, peut-on conclure avec M’Barek Bidaki.
Mohamed LOKHNATI