Le rapport évalue le soutien apporté par les politiques et les institutions d'un pays à la liberté économique en se basant sur des facteurs tels que le choix personnel, l'échange volontaire, la concurrence sur le marché et les droits de propriété. L'Institut Fraser divise cette évaluation en cinq domaines clés, attribuant à chacun une note sur 10.
Dans le domaine de la "Taille du gouvernement", le Maroc obtient une note de 6,56, révélant l'importance des dépenses gouvernementales, de la fiscalité, et de l'influence des entreprises contrôlées par le gouvernement.
En ce qui concerne le "Système juridique et les droits de propriété", le Royaume reçoit un score de 5,25, reflétant le niveau de protection des individus et de leurs droits de propriété, y compris l'impartialité du pouvoir judiciaire.
Parallèlement, le domaine de la "Monnaie stable" attribue au Maroc une note de 7,21, témoignant des efforts du pays pour maintenir des conditions économiques stables et protéger les revenus et les économies de l'érosion due à l'inflation.
Quant à la "Liberté de commerce international", le Maroc obtient un score de 6,58. Ce volet évalue l'engagement des pays à faciliter le commerce international, à minimiser les obstacles, et à favoriser un environnement propice aux échanges libres.
En matière de "Réglementation", le Maroc reçoit une note de 6,51, mettant en lumière les efforts entrepris pour réduire les restrictions, que ce soit sur le commerce intérieur ou international, ainsi que sur d'autres activités commerciales.
Singapour domine le classement avec un score de 8,56, suivi de près par Hong Kong à la deuxième place avec 8,55, et de la Suisse à la troisième place avec 8,47.
En outre, le rapport identifie les dix pays les moins bien notés en termes de liberté économique, parmi lesquels la République du Congo, l'Algérie, l'Argentine, la Libye, l'Iran, le Yémen, le Soudan, la Syrie, le Zimbabwe et le Venezuela.
Dans le domaine de la "Taille du gouvernement", le Maroc obtient une note de 6,56, révélant l'importance des dépenses gouvernementales, de la fiscalité, et de l'influence des entreprises contrôlées par le gouvernement.
En ce qui concerne le "Système juridique et les droits de propriété", le Royaume reçoit un score de 5,25, reflétant le niveau de protection des individus et de leurs droits de propriété, y compris l'impartialité du pouvoir judiciaire.
Parallèlement, le domaine de la "Monnaie stable" attribue au Maroc une note de 7,21, témoignant des efforts du pays pour maintenir des conditions économiques stables et protéger les revenus et les économies de l'érosion due à l'inflation.
Quant à la "Liberté de commerce international", le Maroc obtient un score de 6,58. Ce volet évalue l'engagement des pays à faciliter le commerce international, à minimiser les obstacles, et à favoriser un environnement propice aux échanges libres.
En matière de "Réglementation", le Maroc reçoit une note de 6,51, mettant en lumière les efforts entrepris pour réduire les restrictions, que ce soit sur le commerce intérieur ou international, ainsi que sur d'autres activités commerciales.
Singapour domine le classement avec un score de 8,56, suivi de près par Hong Kong à la deuxième place avec 8,55, et de la Suisse à la troisième place avec 8,47.
En outre, le rapport identifie les dix pays les moins bien notés en termes de liberté économique, parmi lesquels la République du Congo, l'Algérie, l'Argentine, la Libye, l'Iran, le Yémen, le Soudan, la Syrie, le Zimbabwe et le Venezuela.