Le Raja sous une double pression, celle des supporters et celle du résultat acquis par les Algériens de Sétif qui ont battu Horoya à Conakry deux heures auparavant , était dans l’obligation de réussir sa première sortie.
Sur le banc se trouvait Deghay en l’absence de Marc Wilmots et de son staff encore non qualifiés.
Sur le terrain, il y avait, par contre, les 3 nouveaux arrivants récemment qualifiés en Ligue des champions: Kadima Kabangui, Beni Badibanga et Merouane Fakher
De l’insuffisance et du stress verts en première mi-temps
-Dès le début, le Raja a pris l'initiative face à des Sud-africains modestes footballistiquement . Les Verts ont multiplié les assauts. Mais, si la possession et la conservation étaient vertes, la transition ,la relance et les solutions ne suivaient pas à cause de la lenteur. Les Sud Africains, au jeu naïf, se contentaient de balancer et repousser au loin le ballon.
-La précipitation, l'imprécision et le manque de justesse entrainaient les déchets.
-14’. Le poteau droit a repoussé le ballon consécutif à la déviation de Hadhoudi sur une deuxième balle de Badibanga initiée par Metoualli
-43’. Kadima seul face au gardien a raté la finition
-45’ le poteau droit a privé les Sud africains d’ouvrir le score sur leur unique combinaison en surface de réparation.
L’imprécision et le manque de justesse entrainaient les déchets.
Heureusement, cet éclair de Metoualli en deuxième
-La deuxième mi-temps était une copie conforme de la première. Face au doute rajaoui, il y avait de plus en plus de l’audace sud -africaine
-65 .Sur une attaque placée, Metoualli, lucide, s’est infiltré, a combiné avec El Ouardi et a ouvert le score libérant ses coéquipiers du doute et du stress qui les ont obnubilés au fil des minutes.
- Le Raja a fait l’essentiel : les points de la victoire. Mais la copie rendue est très insuffisante voire très inquiétante . Sur le terrain, il n’y avait même pas l’ombre du Raja !
Sur le banc se trouvait Deghay en l’absence de Marc Wilmots et de son staff encore non qualifiés.
Sur le terrain, il y avait, par contre, les 3 nouveaux arrivants récemment qualifiés en Ligue des champions: Kadima Kabangui, Beni Badibanga et Merouane Fakher
De l’insuffisance et du stress verts en première mi-temps
-Dès le début, le Raja a pris l'initiative face à des Sud-africains modestes footballistiquement . Les Verts ont multiplié les assauts. Mais, si la possession et la conservation étaient vertes, la transition ,la relance et les solutions ne suivaient pas à cause de la lenteur. Les Sud Africains, au jeu naïf, se contentaient de balancer et repousser au loin le ballon.
-La précipitation, l'imprécision et le manque de justesse entrainaient les déchets.
-14’. Le poteau droit a repoussé le ballon consécutif à la déviation de Hadhoudi sur une deuxième balle de Badibanga initiée par Metoualli
-43’. Kadima seul face au gardien a raté la finition
-45’ le poteau droit a privé les Sud africains d’ouvrir le score sur leur unique combinaison en surface de réparation.
L’imprécision et le manque de justesse entrainaient les déchets.
Heureusement, cet éclair de Metoualli en deuxième
-La deuxième mi-temps était une copie conforme de la première. Face au doute rajaoui, il y avait de plus en plus de l’audace sud -africaine
-65 .Sur une attaque placée, Metoualli, lucide, s’est infiltré, a combiné avec El Ouardi et a ouvert le score libérant ses coéquipiers du doute et du stress qui les ont obnubilés au fil des minutes.
- Le Raja a fait l’essentiel : les points de la victoire. Mais la copie rendue est très insuffisante voire très inquiétante . Sur le terrain, il n’y avait même pas l’ombre du Raja !