Du haut de ses 34 ans, Toni Kroos ne semble pas affecté plus que ça par la pression incommensurable des matches à enjeu.
Hier encore, en demi-finale retour de la Ligue des Champions, alors qu’il était remplacé par son partenaire Luka Modric à la 69ème minute de jeu, le champion du monde 2014 au sang-froid incomparable ne semblait pas plus stressé que cela. Sur le banc de touche, dans les ultimes minutes de la rencontre, alors que son équipe était toujours menée 0-1 par un Bayern de Munich solide, il affichait son éternel visage de marbre.
Cela est sans doute dû au fait que le Real Madrid est un habitué des retournements de situation dans les joutes européennes, comme cela a pu être le cas à plusieurs reprises, pendant la saison 2021-2022. Le club madrilène faisant preuve d’une certaine force de caractère, en ayant apposé une « signature » à ces scénarios rocambolesques.
Le destin a d’ailleurs donné raison à Kroos puisque Joselu renversait la vapeur en marquant un doublé salvateur.
Hier encore, en demi-finale retour de la Ligue des Champions, alors qu’il était remplacé par son partenaire Luka Modric à la 69ème minute de jeu, le champion du monde 2014 au sang-froid incomparable ne semblait pas plus stressé que cela. Sur le banc de touche, dans les ultimes minutes de la rencontre, alors que son équipe était toujours menée 0-1 par un Bayern de Munich solide, il affichait son éternel visage de marbre.
Cela est sans doute dû au fait que le Real Madrid est un habitué des retournements de situation dans les joutes européennes, comme cela a pu être le cas à plusieurs reprises, pendant la saison 2021-2022. Le club madrilène faisant preuve d’une certaine force de caractère, en ayant apposé une « signature » à ces scénarios rocambolesques.
Le destin a d’ailleurs donné raison à Kroos puisque Joselu renversait la vapeur en marquant un doublé salvateur.
Une septième finale pour Toni Kroos
Qui plus est, ce mercredi, l’expérimenté joueur a vu son équipe se qualifier pour la septième fois en finale de Ligue des Champions (victoire 2-1 au retour, match nul 2-2 à l’aller).
Personne n’a fait mieux sous ce format, en vigueur depuis 1992. À noter tout de même que le champion allemand n’a pas participé à la finale du Bayern Munich gagnée face à Dortmund en 2013 et qu’il a perdu celle de 2012 contre le Chelsea de Roberto Di Matteo, au bout des penaltys.
Depuis, c’est un sans-faute avec la Maison Blanche, puisqu’il a joué et remporté ses quatre finales disputées (2016, 2017, 2018 et 2022), en formant l’ossature de l'équipe au milieu de terrain, à chaque fois avec Casemiro et Modric.
Ainsi, Toni Kroos pourrait, ce 1er juin à Wembley, remporter sa 6ème Ligue des Champions. Dans cet élan, il dépasserait Cristiano Ronaldo et Karim Benzema, et ferait aussi bien que ses compères Dani Carvajal, Luka Modric et Lucas Vazquez.