Lors d'une intervention, mardi, à la deuxième Chambre, Abdelkader El Kihel, conseiller parlementaire du Parti de l'Istiqlal, a critiqué le logement social, notant que de nombreux habitants ne peuvent pas s'entasser dans des lieux dépourvus d'équipements et d'institutions culturelles et récréatives.
Le conseiller a réclamé une remise en question du logement social, appelant ainsi à résoudre la crise du logement des classes moyennes et à maintenir les équilibres sociaux. Il a également souligné qu'un grand effort a été fourni pour éradiquer les bidonvilles, mais qu'il n'y a pas de soutien social pour les résidents lorsqu'ils sont relogés, "ce qui créera des problèmes plus tard".
Le groupe istiqlalien a souligné, à travers son conseiller, que le système juridique du secteur de la reconstruction est obsolète, d'où la nécessité d'un code intégré dans ce domaine, d'autant plus que les documents de construction ne répondent pas aux transformations liées au modèle de développement.
Il a ajouté qu'il existe des visions conservatrices, techniques et réactionnaires concernant les lois d'urbanisation, et qu'elles doivent donc être revues, avec une révision de la nature des relations imbriquées entre les agences urbaines et les élus, dans l'intérêt public.
La transformation numérique est essentielle dans le domaine de la reconstruction, mais elle ne doit pas devenir un obstacle et faire face à une sorte de "bureaucratie numérique", explique la même source.
Par ailleurs, les conseillers des autres groupes ont incité à mettre en place une approche holistique qui garantisse aux citoyens marocains un niveau minimum de préparation dans les villes où ils vivent.
Ils ont également critiqué la multiplicité des acteurs impliqués dans le domaine de la reconstruction, la complexité des procédures et les disparités qui existent entre le monde rural et les villes, soulignant que cette situation créait de grands problèmes, dont la reproduction des bidonvilles.
Le conseiller a réclamé une remise en question du logement social, appelant ainsi à résoudre la crise du logement des classes moyennes et à maintenir les équilibres sociaux. Il a également souligné qu'un grand effort a été fourni pour éradiquer les bidonvilles, mais qu'il n'y a pas de soutien social pour les résidents lorsqu'ils sont relogés, "ce qui créera des problèmes plus tard".
Le groupe istiqlalien a souligné, à travers son conseiller, que le système juridique du secteur de la reconstruction est obsolète, d'où la nécessité d'un code intégré dans ce domaine, d'autant plus que les documents de construction ne répondent pas aux transformations liées au modèle de développement.
Il a ajouté qu'il existe des visions conservatrices, techniques et réactionnaires concernant les lois d'urbanisation, et qu'elles doivent donc être revues, avec une révision de la nature des relations imbriquées entre les agences urbaines et les élus, dans l'intérêt public.
La transformation numérique est essentielle dans le domaine de la reconstruction, mais elle ne doit pas devenir un obstacle et faire face à une sorte de "bureaucratie numérique", explique la même source.
Par ailleurs, les conseillers des autres groupes ont incité à mettre en place une approche holistique qui garantisse aux citoyens marocains un niveau minimum de préparation dans les villes où ils vivent.
Ils ont également critiqué la multiplicité des acteurs impliqués dans le domaine de la reconstruction, la complexité des procédures et les disparités qui existent entre le monde rural et les villes, soulignant que cette situation créait de grands problèmes, dont la reproduction des bidonvilles.