Lors d'une rencontre de concertation avec les secrétaires généraux des centrales syndicales les plus représentatives, El Otmani a exprimé la disposition du gouvernement à examiner ces propositions, étant donné que les syndicats demeurent un partenaire essentiel qui contribue à la défense des intérêts économiques et sociaux des employés et à la promotion de la stabilité sociale, indique un communiqué du département du Chef du gouvernement.
Cette réunion, qui s’inscrit dans le cadre des rencontres de consultation annoncées par le Chef du gouvernement devant les deux Chambres du Parlement, a été l’occasion d’échanger les vues et d’aborder les principaux axes des propositions des syndicats dans l’attente qu’ils préparent des mémorandums écrits au sujet de l'assouplissement des mesures du confinement et du plan de relance économique qui est en cours d'élaboration, ainsi que de la loi de finances rectificative au titre de l'année 2020.
Pour rappel, l’Union générale des travailleurs du Maroc (UGTM) avait suggéré précédemment que pour faire face à la pandémie et limiter ses répercussions économiques et sociales, «l’État doit ouvrir les investissements publics aux grands chantiers créateurs d’emplois, à travers des programmes déterminé», soulignant la nécessité d’apporter un réel soutien aux petites et moyennes entreprises et aux auto-entrepreneurs. Joint par L’Opinion, Enâam Mayara, SG de l’UGTM a déclaré que pour lutter contre les effets ravageurs de la crise sanitaire, il faut entres autres, entreprendre «un véritable dialogue» avec les employeurs afin de trouver «des solutions concrètes permettant aux entreprises en difficulté, en partenariat avec les syndicats, de dépasser cette conjoncture défavorable, qui nécessite de grands sacrifices».
La pandémie a eu d’énormes répercussions économiques, sociales et administratives sur le Maroc, avec notamment l’arrêt partiel ou total de certains secteurs productifs, d’où la nécessité de mettre en place un plan de relance, qui traite la problématique d’une manière audacieuse. Rappelons que la Covid-19 a mis un nombre important de travailleurs à l’arrêt, a causé une baisse des exportations, elle a également paralysé le secteur touristique, sans oublier la baisse remarquable des transferts des Marocains résidant à l’étranger.
Cette réunion, qui s’inscrit dans le cadre des rencontres de consultation annoncées par le Chef du gouvernement devant les deux Chambres du Parlement, a été l’occasion d’échanger les vues et d’aborder les principaux axes des propositions des syndicats dans l’attente qu’ils préparent des mémorandums écrits au sujet de l'assouplissement des mesures du confinement et du plan de relance économique qui est en cours d'élaboration, ainsi que de la loi de finances rectificative au titre de l'année 2020.
Pour rappel, l’Union générale des travailleurs du Maroc (UGTM) avait suggéré précédemment que pour faire face à la pandémie et limiter ses répercussions économiques et sociales, «l’État doit ouvrir les investissements publics aux grands chantiers créateurs d’emplois, à travers des programmes déterminé», soulignant la nécessité d’apporter un réel soutien aux petites et moyennes entreprises et aux auto-entrepreneurs. Joint par L’Opinion, Enâam Mayara, SG de l’UGTM a déclaré que pour lutter contre les effets ravageurs de la crise sanitaire, il faut entres autres, entreprendre «un véritable dialogue» avec les employeurs afin de trouver «des solutions concrètes permettant aux entreprises en difficulté, en partenariat avec les syndicats, de dépasser cette conjoncture défavorable, qui nécessite de grands sacrifices».
La pandémie a eu d’énormes répercussions économiques, sociales et administratives sur le Maroc, avec notamment l’arrêt partiel ou total de certains secteurs productifs, d’où la nécessité de mettre en place un plan de relance, qui traite la problématique d’une manière audacieuse. Rappelons que la Covid-19 a mis un nombre important de travailleurs à l’arrêt, a causé une baisse des exportations, elle a également paralysé le secteur touristique, sans oublier la baisse remarquable des transferts des Marocains résidant à l’étranger.