C’est un document qui met en valeur l’effort des pays africains dans la lutte contre la fraude fiscale. Ainsi,selon le dernier rapport sur la transparence fiscale en Afrique, publié vendredi, les pays africains ont fait de grands progrès dans le renforcement des engagements et de la capacité à réaliser la transparence fiscale et à échanger des informations sur les flux de fonds illicites en 2019. Le document couvre 32 pays membres du Forum mondial sur la transparence et l’échange de renseignements à des fins fiscales et trois non-membres, à savoir, l’Angola, la Guinée Bissau et le Malawi.
Lancé dans le cadre de l’Initiative Afrique, ce rapport note aussi que « les pays participants montrent des avancées significatives sur les deux piliers fondamentaux de l’Initiative Afrique, à savoir, la sensibilisation et l’engagement politiques et le renforcement des capacités en matière de transparence fiscale et d’échange de renseignements », souligne la Banque africaine de développement (BAD) dans un communiqué publié sur son site web. Intitulé « transparence fiscale en Afrique 2020 », ce rapport est produit par le Forum mondial pour la transparence et l’échange d’informations à des fins fiscales, l’Union Africaine et le Forum africain de l’administration fiscale (ATAF), en partenariat étroit avec la BAD.
Le nouveau rapport a souligné aussi la « nécessité pour les pays africains de s’engager dans la poursuite de la mobilisation des recettes, une préoccupation accentuée par le contexte de la pandémie mondiale du nouveau Coronavirus en cours ».
Flux financiers
Publié lors d’un lancement virtuel, le rapport fournit des statistiques comparables sur la transparence fiscale pour aider les décideurs à lutter contre les flux de fonds illicites. « Les flux financiers illicites en Afrique sont estimés entre 50 et 80 milliards de dollars par an.On estime que 44% de la richesse financière de l’Afrique sont détenus à l’étranger, ce qui correspond à des pertes de recettes fiscales de 17 milliards d’euros », lit-on dans le communiqué de la BAD.
« Cette publication annuelle de la Transparence fiscale en Afrique fait partie des divers efforts du continent pour faire progresser la transparence fiscale mondiale et le programme d’échange d’informations en Afrique afin de lutter contre la corruption, l’évasion fiscale, le blanchiment d’argent, la fraude, l’érosion de la base et le profit et enrichissement illicite », a déclaré Victor Harrison, commissaire de la Commission de l’Union Africaine aux affaires économiques, dans la préface du rapport.
Lancé dans le cadre de l’Initiative Afrique, ce rapport note aussi que « les pays participants montrent des avancées significatives sur les deux piliers fondamentaux de l’Initiative Afrique, à savoir, la sensibilisation et l’engagement politiques et le renforcement des capacités en matière de transparence fiscale et d’échange de renseignements », souligne la Banque africaine de développement (BAD) dans un communiqué publié sur son site web. Intitulé « transparence fiscale en Afrique 2020 », ce rapport est produit par le Forum mondial pour la transparence et l’échange d’informations à des fins fiscales, l’Union Africaine et le Forum africain de l’administration fiscale (ATAF), en partenariat étroit avec la BAD.
Le nouveau rapport a souligné aussi la « nécessité pour les pays africains de s’engager dans la poursuite de la mobilisation des recettes, une préoccupation accentuée par le contexte de la pandémie mondiale du nouveau Coronavirus en cours ».
Flux financiers
Publié lors d’un lancement virtuel, le rapport fournit des statistiques comparables sur la transparence fiscale pour aider les décideurs à lutter contre les flux de fonds illicites. « Les flux financiers illicites en Afrique sont estimés entre 50 et 80 milliards de dollars par an.On estime que 44% de la richesse financière de l’Afrique sont détenus à l’étranger, ce qui correspond à des pertes de recettes fiscales de 17 milliards d’euros », lit-on dans le communiqué de la BAD.
« Cette publication annuelle de la Transparence fiscale en Afrique fait partie des divers efforts du continent pour faire progresser la transparence fiscale mondiale et le programme d’échange d’informations en Afrique afin de lutter contre la corruption, l’évasion fiscale, le blanchiment d’argent, la fraude, l’érosion de la base et le profit et enrichissement illicite », a déclaré Victor Harrison, commissaire de la Commission de l’Union Africaine aux affaires économiques, dans la préface du rapport.