Décidément, la 6ème édition a été celle de toutes les surprises, les bonnes surprises.
En effet, pour une fois, les Marocains ont fait la loi sur tous les tableaux, du 10 km jusqu’au marathon, en passant par le semi-marathon. Et ce, aussi bien chez les hommes que chez les dames !
Et comme cerise sur le gâteau, trois records pulvérisés par les nôtres. Autre record, celui de la participation qui a dépassé les 24.000 coureurs.
En effet, les Marocaines ont crevé l’écran au semi-marathon, trustant les trois marches du podium grâce à Fatima Zahra Gardadi qui aligne ainsi sa 2ème victoire de suite après celle au Marathon de Marrakech.
Et ce n’est pas fini, elle a réalisé un chrono de 02h25.03, c’est-à-dire pulvérisé le record que la Kenyane Sylvia Kibert détenait depuis l’année 2019 (2h25.52).
Gardadi est talonnée par sa compatriote Rkia Al Moukim (2.26.51) et suivie de Kaltoum Bouaasria (02.26.54).
Du bonheur pour le trio marocain, avec à la clé une belle cagnotte de, respectivement, 15.000 $, 12.000$ et 9000$.
Même domination au semi-marathon masculin remporté par le duo marocain composé d’Ait Chitachen Omar (01.01.01) et Lamqartas Hamza (01.01.31).
L’épeure phare du marathon a été un véritable exercice de solidité des nerfs et virtuosité tactique.
En effet, les Marocains ont fait montre d’une grande maturité pour remporter le précieux sésame au dépend de favoris parmi les Kenyans et les Ethiopiens.
Une véritable partie des échecs dont le maitre sera finalement Yassine El Allami.
Personne ne misait sur cet étalon qui faisait carrière dans le fond et le demi-fond avant de se convertir sournoisement au marathon.
Il était invisible durant les 30 premiers kilomètres, laissant l’initiative aux grosses cylindrées constituant un peloton de 15 top runners.
Au 25ème km, le Kenyan Adam Kebede s’est détaché subitement, essayant sans doute bluffer, alors que l’opération était un véritable suicide.
Il l’apprendra à ses dépens d’ailleurs puisque le jeune marocain, Hassan Torris, ira le rejoindre et le doubler à 10 km de l’arrivée.
Mais ce faisant, Torris aura lui-même commis une erreur fatale en courant en solitaire.
Il sera rattrapé à son tour et dépassé par son compatriote Yassine El Allami que personne n’attendait.
Torris ne pouvait que constater les dégâts, suivant impuissamment des yeux El Allami qui filait aisément et sans rivalité, vers la ligne d’arrivée qu’il franchit après 2h 09.27.
Il était à deux doigts de battre le record que détient toujours le Kenyan Sammy Kigen (2 h 08.12).
Comme chez les dames, le podium sera dominé par les Marocains, après que Mustpaha Houdadi ait cloué au pilori le Kenyan Adam Kebedé.
Hormis l’éclat planétaire donné à notre capitale et à notre pays, la 6ème édition du Marathon international de Rabat aura confirmé notre expertise en matière d’organisation et le niveau mondial atteint par nos sportifs et permet donc nourrir l’espoir d’un renouement avec l’épopée pour peu que la solidarité soit de mise.
En effet, pour une fois, les Marocains ont fait la loi sur tous les tableaux, du 10 km jusqu’au marathon, en passant par le semi-marathon. Et ce, aussi bien chez les hommes que chez les dames !
Et comme cerise sur le gâteau, trois records pulvérisés par les nôtres. Autre record, celui de la participation qui a dépassé les 24.000 coureurs.
En effet, les Marocaines ont crevé l’écran au semi-marathon, trustant les trois marches du podium grâce à Fatima Zahra Gardadi qui aligne ainsi sa 2ème victoire de suite après celle au Marathon de Marrakech.
Et ce n’est pas fini, elle a réalisé un chrono de 02h25.03, c’est-à-dire pulvérisé le record que la Kenyane Sylvia Kibert détenait depuis l’année 2019 (2h25.52).
Gardadi est talonnée par sa compatriote Rkia Al Moukim (2.26.51) et suivie de Kaltoum Bouaasria (02.26.54).
Du bonheur pour le trio marocain, avec à la clé une belle cagnotte de, respectivement, 15.000 $, 12.000$ et 9000$.
Même domination au semi-marathon masculin remporté par le duo marocain composé d’Ait Chitachen Omar (01.01.01) et Lamqartas Hamza (01.01.31).
L’épeure phare du marathon a été un véritable exercice de solidité des nerfs et virtuosité tactique.
En effet, les Marocains ont fait montre d’une grande maturité pour remporter le précieux sésame au dépend de favoris parmi les Kenyans et les Ethiopiens.
Une véritable partie des échecs dont le maitre sera finalement Yassine El Allami.
Personne ne misait sur cet étalon qui faisait carrière dans le fond et le demi-fond avant de se convertir sournoisement au marathon.
Il était invisible durant les 30 premiers kilomètres, laissant l’initiative aux grosses cylindrées constituant un peloton de 15 top runners.
Au 25ème km, le Kenyan Adam Kebede s’est détaché subitement, essayant sans doute bluffer, alors que l’opération était un véritable suicide.
Il l’apprendra à ses dépens d’ailleurs puisque le jeune marocain, Hassan Torris, ira le rejoindre et le doubler à 10 km de l’arrivée.
Mais ce faisant, Torris aura lui-même commis une erreur fatale en courant en solitaire.
Il sera rattrapé à son tour et dépassé par son compatriote Yassine El Allami que personne n’attendait.
Torris ne pouvait que constater les dégâts, suivant impuissamment des yeux El Allami qui filait aisément et sans rivalité, vers la ligne d’arrivée qu’il franchit après 2h 09.27.
Il était à deux doigts de battre le record que détient toujours le Kenyan Sammy Kigen (2 h 08.12).
Comme chez les dames, le podium sera dominé par les Marocains, après que Mustpaha Houdadi ait cloué au pilori le Kenyan Adam Kebedé.
Hormis l’éclat planétaire donné à notre capitale et à notre pays, la 6ème édition du Marathon international de Rabat aura confirmé notre expertise en matière d’organisation et le niveau mondial atteint par nos sportifs et permet donc nourrir l’espoir d’un renouement avec l’épopée pour peu que la solidarité soit de mise.