Dans un communiqué, l’AIB pour la Promotion des plantes médicinales a indiqué que ce projet génère divers bénéfices tels que la génération de revenus complémentaires pour les agriculteurs, la lutte contre le changement climatique via la séquestration de carbone, ou encore la conservation et le développement de la biodiversité.
«Cette action a ciblé pour les années 2019/2020 le reboisement de 32000 arbres dans 11 régions du Royaume, à savoir Beggara où 2500 arbres fruitiers ont été plantés, 4200 à Kceiba, 4000 à Taza, 1000 à Marchouch, 2000 pour Rommani, 2200 à Agoujgal, 3000 à Touama, 6600 à Tizi Noucheg, 500 à Douirat, 1800 à Lalla Takarkoust et 4000 à Alnif», a-t-il ajouté.
Les bénéfices attendus et réalisés portent notamment sur la lutte contre le réchauffement climatique à l'échelle globale en humidifiant l’air et en stockant du CO2 sous forme de bois, soit environ 5400 tonnes stockées sur 30 ans, indique l'AIB, ajoutant que le développement de l’agroforesterie permettra de protéger les territoires environnants des aléas naturels tels que les coups de vent, les inondations ou les glissements de terrain.
Ainsi, les arbres plantés permettront de protéger les sols de l’érosion et du lessivement. Grâce à leur système racinaire, l’eau de pluie va en effet s’infiltrer lentement dans le sol et alimenter les nappes phréatiques, au lieu de ruisseler. Ils permettront également de développer la biodiversité dans les parcelles boisées en créant de nombreux abris pour la faune. «On estime ainsi que 10.8000 abris seront créés pour des animaux» a noté l'Association.
Et d’ajouter que le reboisement continuera dans les années à venir avec la plantation de 36.000 arbres fruitiers en 2020/2021 dans les régions de Casablanca-Settat, Drâa-Tafilalet, Fès-Meknès, Marrakech-Safi-Al Haouz, Rabat-Salé-Kénitra, Souss-Massa, et Tanger- Tétouan-Al Hoceima.
Au niveau santé, près de 14.4000 mois d’oxygènes seront générés, a fait savoir la même source.
Par ailleurs, les arbres plantés dans les champs des agriculteurs locaux leur permettront d’en récolter des fruits pour leur consommation personnelle ou afin d’obtenir un revenu complémentaire grâce à leur vente. En termes d’emploi, cette action créera au moins 36.000 heures de travail.
Les populations locales, poursuit l'Association, seront sensibilisées et formées aux techniques de l’agroforesterie et à la protection de leur environnement et à l’entretien des arbres sur le long-terme.
«Cette action a ciblé pour les années 2019/2020 le reboisement de 32000 arbres dans 11 régions du Royaume, à savoir Beggara où 2500 arbres fruitiers ont été plantés, 4200 à Kceiba, 4000 à Taza, 1000 à Marchouch, 2000 pour Rommani, 2200 à Agoujgal, 3000 à Touama, 6600 à Tizi Noucheg, 500 à Douirat, 1800 à Lalla Takarkoust et 4000 à Alnif», a-t-il ajouté.
Les bénéfices attendus et réalisés portent notamment sur la lutte contre le réchauffement climatique à l'échelle globale en humidifiant l’air et en stockant du CO2 sous forme de bois, soit environ 5400 tonnes stockées sur 30 ans, indique l'AIB, ajoutant que le développement de l’agroforesterie permettra de protéger les territoires environnants des aléas naturels tels que les coups de vent, les inondations ou les glissements de terrain.
Ainsi, les arbres plantés permettront de protéger les sols de l’érosion et du lessivement. Grâce à leur système racinaire, l’eau de pluie va en effet s’infiltrer lentement dans le sol et alimenter les nappes phréatiques, au lieu de ruisseler. Ils permettront également de développer la biodiversité dans les parcelles boisées en créant de nombreux abris pour la faune. «On estime ainsi que 10.8000 abris seront créés pour des animaux» a noté l'Association.
Et d’ajouter que le reboisement continuera dans les années à venir avec la plantation de 36.000 arbres fruitiers en 2020/2021 dans les régions de Casablanca-Settat, Drâa-Tafilalet, Fès-Meknès, Marrakech-Safi-Al Haouz, Rabat-Salé-Kénitra, Souss-Massa, et Tanger- Tétouan-Al Hoceima.
Au niveau santé, près de 14.4000 mois d’oxygènes seront générés, a fait savoir la même source.
Par ailleurs, les arbres plantés dans les champs des agriculteurs locaux leur permettront d’en récolter des fruits pour leur consommation personnelle ou afin d’obtenir un revenu complémentaire grâce à leur vente. En termes d’emploi, cette action créera au moins 36.000 heures de travail.
Les populations locales, poursuit l'Association, seront sensibilisées et formées aux techniques de l’agroforesterie et à la protection de leur environnement et à l’entretien des arbres sur le long-terme.