Les relations entre le Maroc et le Royaume-Uni ont connu un essor tel ces dernières années qu'elles suscitent de plus en plus d'intérêt chez les parlementaires britanniques qui en parlent de plus en plus souvent à Westminster. Lors d'une réunion de la Commission des Affaires étrangères du Parlement, le Secrétaire d'Etat britannique aux Affaires étrangères, David Cameron, a été interrogé sur sa stratégie pour développer le partenariat avec le Maroc sur lequel compte Londres dans les années à venir pour garantir son approvisionnement en énergie verte et en produits agricoles.
En réponse à cette question, David Cameron a estimé que les relations bilatérales sont très bonnes, rappelant qu'il y a plusieurs domaines dans lesquels les deux pays coopèrent étroitement. Le nouveau Chef de la diplomatie britannique a souligné l'importance stratégique du Maroc au Maghreb et en Afrique, estimant que le Royaume a l'ambition de jouer un rôle de premier plan dans la région. "Le Maroc est également un acteur clé dans le processus de paix au Proche Orient", a-t-il poursuivi, ajoutant qu'il y a d'innombrables opportunités pour raffermir le partenariat entre Rabat et Londres.
Fraîchement nommé à la tête de la diplomatie britannique, David Cameron, qui fut Premier ministre de 2010 à 2016, a, au lendemain de son entrée en fonction, pris contact avec son homologue marocain, Nasser Bourita. Dans un entretien téléphonique, les deux ministres ont fait part, l'un à l'autre, de leur volonté commune de renforcer le partenariat entre les deux pays à tous les niveaux.
Dès la signature de l'accord d'association en 2019, Rabat et Londres se sont visiblement rapprochés. La coopération économique a tellement progressé que les échanges commerciaux ont quasiment triplé depuis lors. La coopération s'est élargie au domaine énergétique avec le projet X-links par lequel le Maroc devrait fournir de l'énergie verte au marché britannique via un câble sous-marin, le plus long au monde.
Le rapprochement maroco-britannique a ouvert le débat sur une éventuelle évolution de la position du Royaume-Uni sur la question du Sahara, sachant que plusieurs voix s'élèvent à Westminster pour plaider en faveur de la reconnaissance de la marocanité du Sahara. Tel est l'avis de l'influent député conservateur, Liam Fox, qui a appelé ouvertement le gouvernement de son pays à franchir le rubicond et emboîter le pas aux pays ayant officiellement soutenu l'initiative d'autonomie. Le député a écrit une lettre à David Cameron l'exhortant à prendre une position plus "proactive" sur la question du Sahara. Le Royaume-Uni, rappelons-le, soutient une solution négociée et mutuellement acceptable et soutien les efforts de l'Envoyé personnel du Secrétaire général de l'ONU, Staffan de Mistura, pour y parvenir.
En réponse à cette question, David Cameron a estimé que les relations bilatérales sont très bonnes, rappelant qu'il y a plusieurs domaines dans lesquels les deux pays coopèrent étroitement. Le nouveau Chef de la diplomatie britannique a souligné l'importance stratégique du Maroc au Maghreb et en Afrique, estimant que le Royaume a l'ambition de jouer un rôle de premier plan dans la région. "Le Maroc est également un acteur clé dans le processus de paix au Proche Orient", a-t-il poursuivi, ajoutant qu'il y a d'innombrables opportunités pour raffermir le partenariat entre Rabat et Londres.
Fraîchement nommé à la tête de la diplomatie britannique, David Cameron, qui fut Premier ministre de 2010 à 2016, a, au lendemain de son entrée en fonction, pris contact avec son homologue marocain, Nasser Bourita. Dans un entretien téléphonique, les deux ministres ont fait part, l'un à l'autre, de leur volonté commune de renforcer le partenariat entre les deux pays à tous les niveaux.
Dès la signature de l'accord d'association en 2019, Rabat et Londres se sont visiblement rapprochés. La coopération économique a tellement progressé que les échanges commerciaux ont quasiment triplé depuis lors. La coopération s'est élargie au domaine énergétique avec le projet X-links par lequel le Maroc devrait fournir de l'énergie verte au marché britannique via un câble sous-marin, le plus long au monde.
Le rapprochement maroco-britannique a ouvert le débat sur une éventuelle évolution de la position du Royaume-Uni sur la question du Sahara, sachant que plusieurs voix s'élèvent à Westminster pour plaider en faveur de la reconnaissance de la marocanité du Sahara. Tel est l'avis de l'influent député conservateur, Liam Fox, qui a appelé ouvertement le gouvernement de son pays à franchir le rubicond et emboîter le pas aux pays ayant officiellement soutenu l'initiative d'autonomie. Le député a écrit une lettre à David Cameron l'exhortant à prendre une position plus "proactive" sur la question du Sahara. Le Royaume-Uni, rappelons-le, soutient une solution négociée et mutuellement acceptable et soutien les efforts de l'Envoyé personnel du Secrétaire général de l'ONU, Staffan de Mistura, pour y parvenir.
