Les échanges de ce séminaire ont permis de faire un premier diagnostic «plutôt mitigé» et «non satisfaisant» sur la réalité de l’éducation et de la formation aux droits humains au Maroc, et ce malgré les transformations et les efforts consentis, tout en soulignant l’importance de renforcer l’éducation dans ce domaine.
Les participants à cette rencontre ont souligné que l’intégration officielle, dans le système éducatif marocain, de l’éducation et de la formation aux droits de l’Homme, représente une contribution concrète du gouvernement marocain à la Décennie des Nations Unies pour l’éducation aux droits de l’Homme (1995 -2004) et aux différentes étapes du Programme mondial (démarré en 2005 et toujours en cours..) pour l’éducation dans le domaine des droits de l’Homme.
Les intervenants ont aussi indiqué que l’éducation aux droits humains doit donner la possibilité aux apprenants d’acquérir un esprit critique qui leur permet de comprendre, de revendiquer et de défendre leurs droits. Ils ont ainsi appelé à éviter que l’éducation et la formation dans le domaine des droits de l’Homme ne deviennent de simples slogans.
S’agissant de la situation de l’enseignement des droits de l’Homme au niveau du Master, dans les facultés de droit marocaines, elle pose de nombreux problèmes, tels que l’ambiguïté de la finalité d’approfondir l’enseignement des droits de l’Homme et les perspectives d’emploi dans ce domaine vital, la faible communication entre les étudiants et les équipes pédagogiques, le décalage entre les résultats de la recherche scientifique et le rythme des transformations rapides qui s’opèrent au Maroc et dans le Monde, l’ouverture limitée aux universités et instituts étrangers et l’inexistence ou la faiblesse des fonds documentaires spécialisés, incluant des revues internationales relatives aux droits de l’Homme, tels que les périodiques produits par les Nations Unies.
La promotion de la culture des droits humains nécessite l’existence d’un projet de société démocratique et d’un réseau d’acteurs responsables et solidaires, pour le mettre en oeuvre et le défendre, comprenant le gouvernement, les institutions nationales et internationales des droits de l’Homme, la société civile et les organisations non-gouvernementales, aussi bien locales que globales, le secteur des médias et les journalistes.
Organisée en partenariat avec le Master Droits de l’Homme et Libertés Publiques (MDHLP), relevant du Département de Droit Public de la Faculté de Droit de Marrakech, cette rencontre a débattu de thématiques se rapportant à «la situation de l’enseignement des droits de l’Homme au niveau du Master dans les Facultés de droit marocaines : un essai de description», «le développement de la pensée humaniste par les droits de l’Homme», «l’éducation aux droits humains en milieu scolaire : Défis et enjeux», «Les Nations-Unies et l’éducation et la formation aux droits humains, quelle effectivité pour les principes et les objectifs onusiens?» et «Suivre et réussir ses études dans le Master des droits de l’Homme et des libertés publiques à la FSJES de Marrakech : quelques orientations méthodologiques».
Les participants à cette rencontre ont souligné que l’intégration officielle, dans le système éducatif marocain, de l’éducation et de la formation aux droits de l’Homme, représente une contribution concrète du gouvernement marocain à la Décennie des Nations Unies pour l’éducation aux droits de l’Homme (1995 -2004) et aux différentes étapes du Programme mondial (démarré en 2005 et toujours en cours..) pour l’éducation dans le domaine des droits de l’Homme.
Les intervenants ont aussi indiqué que l’éducation aux droits humains doit donner la possibilité aux apprenants d’acquérir un esprit critique qui leur permet de comprendre, de revendiquer et de défendre leurs droits. Ils ont ainsi appelé à éviter que l’éducation et la formation dans le domaine des droits de l’Homme ne deviennent de simples slogans.
S’agissant de la situation de l’enseignement des droits de l’Homme au niveau du Master, dans les facultés de droit marocaines, elle pose de nombreux problèmes, tels que l’ambiguïté de la finalité d’approfondir l’enseignement des droits de l’Homme et les perspectives d’emploi dans ce domaine vital, la faible communication entre les étudiants et les équipes pédagogiques, le décalage entre les résultats de la recherche scientifique et le rythme des transformations rapides qui s’opèrent au Maroc et dans le Monde, l’ouverture limitée aux universités et instituts étrangers et l’inexistence ou la faiblesse des fonds documentaires spécialisés, incluant des revues internationales relatives aux droits de l’Homme, tels que les périodiques produits par les Nations Unies.
La promotion de la culture des droits humains nécessite l’existence d’un projet de société démocratique et d’un réseau d’acteurs responsables et solidaires, pour le mettre en oeuvre et le défendre, comprenant le gouvernement, les institutions nationales et internationales des droits de l’Homme, la société civile et les organisations non-gouvernementales, aussi bien locales que globales, le secteur des médias et les journalistes.
Organisée en partenariat avec le Master Droits de l’Homme et Libertés Publiques (MDHLP), relevant du Département de Droit Public de la Faculté de Droit de Marrakech, cette rencontre a débattu de thématiques se rapportant à «la situation de l’enseignement des droits de l’Homme au niveau du Master dans les Facultés de droit marocaines : un essai de description», «le développement de la pensée humaniste par les droits de l’Homme», «l’éducation aux droits humains en milieu scolaire : Défis et enjeux», «Les Nations-Unies et l’éducation et la formation aux droits humains, quelle effectivité pour les principes et les objectifs onusiens?» et «Suivre et réussir ses études dans le Master des droits de l’Homme et des libertés publiques à la FSJES de Marrakech : quelques orientations méthodologiques».