La recherche scientifique dans les universités est appelée à accompagner les mutations socio-économiques et à trouver des solutions aux différents défis dont fait face la société, ont-ils relevé lors de cette conférence à distance organisée sous le thème «Pandémie du Covid-19 : Quels rôles des universités et de la recherche scientifique».
Pour le président de l’UCA, Moulay El Hassan Ahbid, les universités marocaines ont su accompagner le foisonnement d’idées, d’actions et de projets innovants dans le contexte de la pandémie, se disant en faveur de la promotion d’une recherche scientifique «réactive» qui anticipe les mutations de la société et trouve des solutions aux problématiques imprévues. Après avoir passé en revue la stratégie mise en œuvre par l’UCA en matière de recherche scientifique, M. Ahbid a mis l’accent sur nombre de défis auxquels fait face le système d’enseignement au Maroc et qui sont inhérents à la qualité des formations, à la capacité d’encadrement, et à la langue d’enseignement entre autres. «Notre rôle consiste à transformer ces défis en opportunités», a-t-il dit, faisant savoir que l’UCA consacre aujourd’hui plus de 20% de son budget à la recherche scientifique.
Et de faire remarquer que la promotion de la recherche scientifique passe, par le renforcement des partenariats avec des structures scientifiques et des organismes de recherche internationaux et la promotion de la formation continue, et l’encouragement de la mobilité des chercheurs, mettant l’accent sur la question du financement de la recherche selon un contrat-objectif. Il a également souligné que les universités se doivent de promouvoir et de renforcer l’enseignement numérique et à distance et de déployer de nouvelles méthodes d’apprentissage innovantes.
Le doyen par intérim, Zakaria Khalil, a souligné que les universités marocaines sont appelées plus que jamais à interagir avec les attentes et les aspirations de la société.
«Après le déconfinement, le Maroc sera amené à tirer profit de l’expérience de l’enseignement à distance pour trouver des solutions à la massification dans les universités et à garantir l’équité et l’accès à l’apprentissage pour tous les étudiants», a-til ajouté.
Mme Amina Benraïss, professeure universitaire a noté, quant à elle, que la recherche scientifique au sein des universités doit émaner des problématiques de la société et des entreprises, de même les établissements d’enseignement supérieur se doivent d’être en mesure de trouver des solutions à ces problématiques. De son côté, le professeur Mohammed El Ghali a estimé que l’université marocaine peut jouer un grand rôle en ces circonstances exceptionnelles. Pour ce faire, il faut promouvoir une complémentarité entre les différentes disciplines.
«Les décideurs politiques doivent se référer aux centres scientifiques avant d’élaborer les politiques publiques ou prendre des décisions stratégiques», a-t-il préconisé.
Pour le président de l’UCA, Moulay El Hassan Ahbid, les universités marocaines ont su accompagner le foisonnement d’idées, d’actions et de projets innovants dans le contexte de la pandémie, se disant en faveur de la promotion d’une recherche scientifique «réactive» qui anticipe les mutations de la société et trouve des solutions aux problématiques imprévues. Après avoir passé en revue la stratégie mise en œuvre par l’UCA en matière de recherche scientifique, M. Ahbid a mis l’accent sur nombre de défis auxquels fait face le système d’enseignement au Maroc et qui sont inhérents à la qualité des formations, à la capacité d’encadrement, et à la langue d’enseignement entre autres. «Notre rôle consiste à transformer ces défis en opportunités», a-t-il dit, faisant savoir que l’UCA consacre aujourd’hui plus de 20% de son budget à la recherche scientifique.
Et de faire remarquer que la promotion de la recherche scientifique passe, par le renforcement des partenariats avec des structures scientifiques et des organismes de recherche internationaux et la promotion de la formation continue, et l’encouragement de la mobilité des chercheurs, mettant l’accent sur la question du financement de la recherche selon un contrat-objectif. Il a également souligné que les universités se doivent de promouvoir et de renforcer l’enseignement numérique et à distance et de déployer de nouvelles méthodes d’apprentissage innovantes.
Le doyen par intérim, Zakaria Khalil, a souligné que les universités marocaines sont appelées plus que jamais à interagir avec les attentes et les aspirations de la société.
«Après le déconfinement, le Maroc sera amené à tirer profit de l’expérience de l’enseignement à distance pour trouver des solutions à la massification dans les universités et à garantir l’équité et l’accès à l’apprentissage pour tous les étudiants», a-til ajouté.
Mme Amina Benraïss, professeure universitaire a noté, quant à elle, que la recherche scientifique au sein des universités doit émaner des problématiques de la société et des entreprises, de même les établissements d’enseignement supérieur se doivent d’être en mesure de trouver des solutions à ces problématiques. De son côté, le professeur Mohammed El Ghali a estimé que l’université marocaine peut jouer un grand rôle en ces circonstances exceptionnelles. Pour ce faire, il faut promouvoir une complémentarité entre les différentes disciplines.
«Les décideurs politiques doivent se référer aux centres scientifiques avant d’élaborer les politiques publiques ou prendre des décisions stratégiques», a-t-il préconisé.