Le rayonnement continental de la Fédération Royale Marocaine de Football (FRMF) est devenu un fait d'actualité souvent cité en exemple. La mise des infrastructures et de la logistique marocaines à la disposition de nombreuses fédérations africaines lors de la fenêtre FIFA octobre 2021 est l'illustration parfaite de ce rayonnement.
Il est valorisé par une politique de communication numérique percutante s'appuyant sur les réseaux sociaux pour mieux porter son message, varier ses cibles et toucher le maximum de followers et pas seulement au Maroc.
Ce témoignage est le concentré d'un article de presse paru sur le site médiatique sud-africain « Farpost » le 2 octobre dernier sous le titre : "Digital, réseaux sociaux et football".
Selon son rédacteur, l'une des forces du président de la FRMF est le fait d'avoir saisi l'impact de la digitalisation de sa communication.
Pour la réussir, il a fait appel à une jeune équipe de cadres marocains maîtrisant les outils, les procédés et les subtilités de la communication numérique. Le rédacteur sud-africain considère que l'une des raisons de la percée continentale du président de la FRMF est l'efficacité de sa communication autour de son projet fondé sur la concrétisation et la matérialisation de ses concepts et idées mais également sur la capacité performante de son équipe fédérale en charge de la communication à mettre en valeur ses réalisations".
Les noms de deux jeunes cadres marocains sont derrière cette puissance et réussite communicative selon « Farpost »: Omar Khayari, le monsieur communication de la FRMF en sa qualité de Conseiller du président en la matière, et Amine Mazzen, le monsieur Communication autour des équipes nationales. Ces deux jeunes cadres ont réussi à attirer 469.000 abonnés sur Twitter, 670.000 sur Facebook et 525.000 sur Instagram en l'espace des deux dernières années coïncidant avec la pandémie Covid-19. Khayari et Mazzen, pour toucher le maximum de cibles, ont opté pour l'arabe et surtout pour l'anglais comme outils linguistiques de façon à élargir le champ de leur action même en dehors du Maroc. Ils ont atteint l'objectif.
Pour "Farpost", « la FRMF est leader en Afrique. Elle devra être prise en modèle par les Associations du continent encore à la traîne ».
Il est valorisé par une politique de communication numérique percutante s'appuyant sur les réseaux sociaux pour mieux porter son message, varier ses cibles et toucher le maximum de followers et pas seulement au Maroc.
Ce témoignage est le concentré d'un article de presse paru sur le site médiatique sud-africain « Farpost » le 2 octobre dernier sous le titre : "Digital, réseaux sociaux et football".
Selon son rédacteur, l'une des forces du président de la FRMF est le fait d'avoir saisi l'impact de la digitalisation de sa communication.
Pour la réussir, il a fait appel à une jeune équipe de cadres marocains maîtrisant les outils, les procédés et les subtilités de la communication numérique. Le rédacteur sud-africain considère que l'une des raisons de la percée continentale du président de la FRMF est l'efficacité de sa communication autour de son projet fondé sur la concrétisation et la matérialisation de ses concepts et idées mais également sur la capacité performante de son équipe fédérale en charge de la communication à mettre en valeur ses réalisations".
Les noms de deux jeunes cadres marocains sont derrière cette puissance et réussite communicative selon « Farpost »: Omar Khayari, le monsieur communication de la FRMF en sa qualité de Conseiller du président en la matière, et Amine Mazzen, le monsieur Communication autour des équipes nationales. Ces deux jeunes cadres ont réussi à attirer 469.000 abonnés sur Twitter, 670.000 sur Facebook et 525.000 sur Instagram en l'espace des deux dernières années coïncidant avec la pandémie Covid-19. Khayari et Mazzen, pour toucher le maximum de cibles, ont opté pour l'arabe et surtout pour l'anglais comme outils linguistiques de façon à élargir le champ de leur action même en dehors du Maroc. Ils ont atteint l'objectif.
Pour "Farpost", « la FRMF est leader en Afrique. Elle devra être prise en modèle par les Associations du continent encore à la traîne ».
