Tandis que la tension monte entre la France et la Turquie à propos de la situation en Méditerranée orientale, lors de son discours télévisé ce 12 septembre, le Président turc Recep Tayyip Erdogan a recommandé à Macron de ne pas chercher la Turquie suite aux critiques françaises.
«Ne cherchez pas querelle au peuple turc, ne cherchez pas querelle à la Turquie», a lancé dans un discours télévisé à Istanbul, en référence aux sévères critiques émises par Macron envers Ankara dans le cadre du conflit entre la Turquie et la Grèce à propos de la prospection pétrolière en Méditerrané.
Par la suite, le Président turc a fait allusion aux déclarations du Président français qui avait affirmé qu’il n’avait pas de problème avec le peuple turc, mais avec Erdogan. Alors, s’adressant ce samedi au Président français, Recep Tayyip Erdogan a martelé qu’il allait avoir encore plus de problèmes avec lui.
Plus tôt, le ministère turc des Affaires étrangères, suite aux attaques du Président français, avait déclaré qu’il estimait cela comme l’expression d’un mécontentement face à la mise en échec par Ankara de ses projets en matière de politique internationale. Le 10 septembre, lors d’une conférence de presse à Ajaccio avant le 7e sommet des pays du sud de l’UE, Emmanuel Macron a évoqué les tensions en Méditerranée orientale entre la Turquie et la Grèce.
Il a déclaré que la Turquie «n’est plus un partenaire» en Méditerranée orientale et a appelé l’Europe à porter «une voix plus unie et plus claire» face à la Turquie. Les USA s’inquiètent des initiatives turques.
Par ailleurs, les Etats-Unis restent «profondément préoccupés» par les actes de la Turquie en Méditerranée orientale, a déclaré samedi le secrétaire d’Etat américain, lors d’une visite à Chypre.
«Les pays de la région doivent surmonter leurs désaccords, notamment sur la sécurité, les ressources énergétiques et les questions maritimes, par des moyens diplomatiques et pacifiques», a poursuivi Mike Pompeo.
«L’aggravation des tensions militaires n’aide personne d’autre que les adversaires qui souhaiteraient voir l’unité transatlantique se fissurer», a-t-il ajouté.
Les tensions entre Athènes et Nicosie, d’une part, et Ankara de l’autre se sont aggravées depuis le lancement en août d’une campagne turque de prospection gazière dans une zone contestée de Méditerranée orientale. Grèce, France et Italie ont procédé récemment à des manœuvres militaires dans ce secteur.
Jugeant le moment venu de doter l’armée de moyens supplémentaires, le Premier ministre grec Kyriakos Mitsotakis a par ailleurs annoncé samedi son intention de commander 18 Rafale à Dassault Aviation ainsi que quatre frégates et de recruter 15.000 militaires.
«Ne cherchez pas querelle au peuple turc, ne cherchez pas querelle à la Turquie», a lancé dans un discours télévisé à Istanbul, en référence aux sévères critiques émises par Macron envers Ankara dans le cadre du conflit entre la Turquie et la Grèce à propos de la prospection pétrolière en Méditerrané.
Par la suite, le Président turc a fait allusion aux déclarations du Président français qui avait affirmé qu’il n’avait pas de problème avec le peuple turc, mais avec Erdogan. Alors, s’adressant ce samedi au Président français, Recep Tayyip Erdogan a martelé qu’il allait avoir encore plus de problèmes avec lui.
Plus tôt, le ministère turc des Affaires étrangères, suite aux attaques du Président français, avait déclaré qu’il estimait cela comme l’expression d’un mécontentement face à la mise en échec par Ankara de ses projets en matière de politique internationale. Le 10 septembre, lors d’une conférence de presse à Ajaccio avant le 7e sommet des pays du sud de l’UE, Emmanuel Macron a évoqué les tensions en Méditerranée orientale entre la Turquie et la Grèce.
Il a déclaré que la Turquie «n’est plus un partenaire» en Méditerranée orientale et a appelé l’Europe à porter «une voix plus unie et plus claire» face à la Turquie. Les USA s’inquiètent des initiatives turques.
Par ailleurs, les Etats-Unis restent «profondément préoccupés» par les actes de la Turquie en Méditerranée orientale, a déclaré samedi le secrétaire d’Etat américain, lors d’une visite à Chypre.
«Les pays de la région doivent surmonter leurs désaccords, notamment sur la sécurité, les ressources énergétiques et les questions maritimes, par des moyens diplomatiques et pacifiques», a poursuivi Mike Pompeo.
«L’aggravation des tensions militaires n’aide personne d’autre que les adversaires qui souhaiteraient voir l’unité transatlantique se fissurer», a-t-il ajouté.
Les tensions entre Athènes et Nicosie, d’une part, et Ankara de l’autre se sont aggravées depuis le lancement en août d’une campagne turque de prospection gazière dans une zone contestée de Méditerranée orientale. Grèce, France et Italie ont procédé récemment à des manœuvres militaires dans ce secteur.
Jugeant le moment venu de doter l’armée de moyens supplémentaires, le Premier ministre grec Kyriakos Mitsotakis a par ailleurs annoncé samedi son intention de commander 18 Rafale à Dassault Aviation ainsi que quatre frégates et de recruter 15.000 militaires.