À quelques jours de la fin du mois de ramadan, les appels se multiplient pour alléger les mesures préventives et les restrictions de déplacement. Des appels qui trouvent écho au sein même du comité scientifique où siège le directeur du Laboratoire de biotechnologie de la Faculté de médecine et de pharmacie de Rabat, Azzedine Ibrahimi. Dans un poste sur son compte Facebook, ce dernier s’est déclaré favorable à un allégement des restrictions dans la période post-ramadan, en faisant état d’une amélioration de la situation épidémiologique dans le Royaume grâce aux mesures prises durant le mois sacré.
Selon le spécialiste, dont la voix compte au sein du comité scientifique, les circonstances sont propices pour un allégement des restrictions y compris le couvre-feu. En témoigne le recul du nombre hebdomadaire des décès et des cas critiques, explique M. Ibrahimi, précisant que la circulation du virus a manifestement chuté lors du mois sacré. Outre cela, la reprise de la campagne de vaccination après l’arrivée des nouveaux lots de Sinopharm ne manquera pas de contribuer à stabiliser la situation sanitaire, en élargissant le champ des bénéficiaires du vaccin à d’autres catégories d’âge.
Tous ces indicateurs optimistes permettent, aux yeux d’Azzedine Ibrahimi, d’amorcer un allégement progressif des mesures restrictives. Ce dernier propose une levée relative du couvre-feu en permettant aux cafés et aux restaurants de rester ouverts jusqu’à une heure plus tardive le soir. Il recommande également l’ouverture des mosquées aussi bien pour les prières que pour les cours d’analphabétisme.
En ce qui concerne les rassemblements, il est possible selon le spécialiste de les autoriser dans les espaces ouverts et d’augmenter le nombre maximum des personnes rassemblées dans les espaces fermés.
Alors que les déplacements entre villes et régions se font de plus en plus nombreux à la veille du jour de l’Aïd, Azzedine Ibrahimi propose d’atténuer l’ampleur des restrictions, en autorisant les déplacements entre les régions faisant partie des zones vertes, autrement dit celles qui se tiennent le mieux sur le plan épidémiologique.
Il s’agit donc d’expérimenter une nouvelle approche, plus légère, dans la gestion de la crise sanitaire, d’autant que le système hospitalier est de plus en plus soulagé.
Selon le spécialiste, dont la voix compte au sein du comité scientifique, les circonstances sont propices pour un allégement des restrictions y compris le couvre-feu. En témoigne le recul du nombre hebdomadaire des décès et des cas critiques, explique M. Ibrahimi, précisant que la circulation du virus a manifestement chuté lors du mois sacré. Outre cela, la reprise de la campagne de vaccination après l’arrivée des nouveaux lots de Sinopharm ne manquera pas de contribuer à stabiliser la situation sanitaire, en élargissant le champ des bénéficiaires du vaccin à d’autres catégories d’âge.
Tous ces indicateurs optimistes permettent, aux yeux d’Azzedine Ibrahimi, d’amorcer un allégement progressif des mesures restrictives. Ce dernier propose une levée relative du couvre-feu en permettant aux cafés et aux restaurants de rester ouverts jusqu’à une heure plus tardive le soir. Il recommande également l’ouverture des mosquées aussi bien pour les prières que pour les cours d’analphabétisme.
En ce qui concerne les rassemblements, il est possible selon le spécialiste de les autoriser dans les espaces ouverts et d’augmenter le nombre maximum des personnes rassemblées dans les espaces fermés.
Alors que les déplacements entre villes et régions se font de plus en plus nombreux à la veille du jour de l’Aïd, Azzedine Ibrahimi propose d’atténuer l’ampleur des restrictions, en autorisant les déplacements entre les régions faisant partie des zones vertes, autrement dit celles qui se tiennent le mieux sur le plan épidémiologique.
Il s’agit donc d’expérimenter une nouvelle approche, plus légère, dans la gestion de la crise sanitaire, d’autant que le système hospitalier est de plus en plus soulagé.