Après l’appel du Chef du gouvernement, Aziz Akhannouch, à renforcer les opérations de contrôle de mesures en vigueur pour juguler la propagation du Covid-19 au sein des administrations et établissements publics, le ministre de la Justice, Abdellatif Ouahbi, a diffusé une circulaire auprès des responsables de son département exigeant le respect des règles nécessaires pour assurer la lutte contre le SARS-Cov-2 sur les lieux de travail.
« Dans le cadre de la campagne de prévention visant à limiter les effets du Covid-19, et conformément aux mesures approuvées par les pouvoirs publics pour lutter et mettre fin à cette épidémie et empêcher sa propagation, une approche de précaution a été adoptée pour accéder aux lieux de travail dans les établissements publics », peut-on lire dans la notice.
Elle a précisé que les salariés sont priés de fournir une preuve de vaccination ou une attestation d’exemption afin d’assurer la sécurité sanitaire de leurs collègues et le maintien permanent du travail, faisant savoir que leur présence ne sera désormais plus tolérée sur les lieux de travail, après l’expiration du délai de sept jours à compter de la date d’émission de la circulaire.
Cette dernière a révélé que le ministère de tutelle s'est engagé à prendre des mesures disciplinaires à l'encontre de ceux qui refusent de se faire vacciner, conformément aux exigences légales en vigueur, soulignant la nécessité d’autoriser, temporairement, l’accès au lieu de travail à ceux n’ayant pas été entièrement vaccinés dès la réception des première et deuxième doses.
D'autre part, le département ministériel a appelé les différents responsables à sensibiliser tous les salariés à l’importance de la participation massive à la campagne de vaccination pour les groupes non encore vaccinés, tout en renforçant l’immunisation avec la troisième dose de rappel pour éviter d’éventuelles complications en cas d’infection.
La circulaire a ainsi appelé la Direction des ressources humaines à veiller au respect de chaque décision prise en matière de vaccination et d’accès aux lieux de travail et de signaler toutes les contraintes et difficultés auxquelles elle sera confrontée.
La même source a, in fine, insisté sur la nécessité d’inclure et de mettre à jour les dates auxquelles les employés reçoivent quotidiennement les doses de vaccinations, particulièrement la troisième dose de rappel.
« Dans le cadre de la campagne de prévention visant à limiter les effets du Covid-19, et conformément aux mesures approuvées par les pouvoirs publics pour lutter et mettre fin à cette épidémie et empêcher sa propagation, une approche de précaution a été adoptée pour accéder aux lieux de travail dans les établissements publics », peut-on lire dans la notice.
Elle a précisé que les salariés sont priés de fournir une preuve de vaccination ou une attestation d’exemption afin d’assurer la sécurité sanitaire de leurs collègues et le maintien permanent du travail, faisant savoir que leur présence ne sera désormais plus tolérée sur les lieux de travail, après l’expiration du délai de sept jours à compter de la date d’émission de la circulaire.
Cette dernière a révélé que le ministère de tutelle s'est engagé à prendre des mesures disciplinaires à l'encontre de ceux qui refusent de se faire vacciner, conformément aux exigences légales en vigueur, soulignant la nécessité d’autoriser, temporairement, l’accès au lieu de travail à ceux n’ayant pas été entièrement vaccinés dès la réception des première et deuxième doses.
D'autre part, le département ministériel a appelé les différents responsables à sensibiliser tous les salariés à l’importance de la participation massive à la campagne de vaccination pour les groupes non encore vaccinés, tout en renforçant l’immunisation avec la troisième dose de rappel pour éviter d’éventuelles complications en cas d’infection.
La circulaire a ainsi appelé la Direction des ressources humaines à veiller au respect de chaque décision prise en matière de vaccination et d’accès aux lieux de travail et de signaler toutes les contraintes et difficultés auxquelles elle sera confrontée.
La même source a, in fine, insisté sur la nécessité d’inclure et de mettre à jour les dates auxquelles les employés reçoivent quotidiennement les doses de vaccinations, particulièrement la troisième dose de rappel.