Par ces temps de tempêtes et d’averses, il est difficile de ne pas penser à nos concitoyens rescapés du terrible séisme d’Al-Haouz, survenu il y a plus d’un an et demi. Si certains d’entre eux ont pu se reloger, avec l’aide financière de l’Etat, d’autres attendent encore que les autorités viennent les sortir de leur misère.
Selon la ministre de l’Habitat, Fatima Ezzahra El Mansouri, 60.000 habitations seront prêtes dans les six mois à venir, et les travaux de réaménagement et de réhabilitation des zones sinistrées avancent à un rythme soutenu. Elle a également souligné que le délai internationalement reconnu pour la reconstruction d’une zone anéantie par un tremblement de terre de cette ampleur est de trois ans.
Ces délais paraissent une éternité pour un citoyen qui a tout perdu et qui loge encore sous une tente, à la merci des aléas météorologiques. Les indignations sur les réseaux sociaux se multiplient, à juste titre, face aux images qui nous parviennent de ces lieux, qui semblent oubliés par les autorités et l’opinion publique.
Il faut maintenir la pression et veiller au grain quant à l’état d’avancement du chantier de reconstruction, mais il faut également continuer à se mobiliser pour ces personnes malheureuses vivant sous les tentes. La flamme de la solidarité exceptionnelle manifestée après la catastrophe, qui a vu affluer des dons de tous les coins du Royaume, ne doit pas s’éteindre.
Ces dons doivent continuer à affluer, notamment par le biais des associations toujours actives dans ces zones. Qu’il s’agisse de médicaments, de couvertures, de vêtements ou de tout autre bien en nature, cela contribuerait à soulager le quotidien des sinistrés. Pour les dons en espèces, le fonds spécial mis en place au lendemain de l’événement peut encore être utilisé pour collecter de nouveaux fonds qui, rappelons-le, seront reversés à l’Agence de développement du Grand Atlas.
Justement, cette agence devrait ouvrir un canal de communication avec la presse, et plus généralement avec les citoyens, pour leur permettre de suivre l’avancement des travaux de relogement et de reconstruction à Al-Haouz. Elle pourrait également lever le voile sur les difficultés rencontrées sur le terrain, afin, au minimum, de donner aux Marocains une vision complète sur le sort de leurs concitoyens dans cette région.
Selon la ministre de l’Habitat, Fatima Ezzahra El Mansouri, 60.000 habitations seront prêtes dans les six mois à venir, et les travaux de réaménagement et de réhabilitation des zones sinistrées avancent à un rythme soutenu. Elle a également souligné que le délai internationalement reconnu pour la reconstruction d’une zone anéantie par un tremblement de terre de cette ampleur est de trois ans.
Ces délais paraissent une éternité pour un citoyen qui a tout perdu et qui loge encore sous une tente, à la merci des aléas météorologiques. Les indignations sur les réseaux sociaux se multiplient, à juste titre, face aux images qui nous parviennent de ces lieux, qui semblent oubliés par les autorités et l’opinion publique.
Il faut maintenir la pression et veiller au grain quant à l’état d’avancement du chantier de reconstruction, mais il faut également continuer à se mobiliser pour ces personnes malheureuses vivant sous les tentes. La flamme de la solidarité exceptionnelle manifestée après la catastrophe, qui a vu affluer des dons de tous les coins du Royaume, ne doit pas s’éteindre.
Ces dons doivent continuer à affluer, notamment par le biais des associations toujours actives dans ces zones. Qu’il s’agisse de médicaments, de couvertures, de vêtements ou de tout autre bien en nature, cela contribuerait à soulager le quotidien des sinistrés. Pour les dons en espèces, le fonds spécial mis en place au lendemain de l’événement peut encore être utilisé pour collecter de nouveaux fonds qui, rappelons-le, seront reversés à l’Agence de développement du Grand Atlas.
Justement, cette agence devrait ouvrir un canal de communication avec la presse, et plus généralement avec les citoyens, pour leur permettre de suivre l’avancement des travaux de relogement et de reconstruction à Al-Haouz. Elle pourrait également lever le voile sur les difficultés rencontrées sur le terrain, afin, au minimum, de donner aux Marocains une vision complète sur le sort de leurs concitoyens dans cette région.